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Calvin, et il domine encore toute l’anthropologie
chrétienne
. Rejoignant le sujet de ce colloque, je voudrais rappeler maintenant
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e peut le comparer dans la tradition occidentale,
chrétienne
, qu’aux « Nouveaux Cieux », à la « Nouvelle Terre », à la « Nouvelle
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toire et notre espace-temps terrestre. Comment le
chrétien
résisterait-il toujours et partout au glissement de sens et d’attitud
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par le christianisme, — et je cite : La religion
chrétienne
a été le lien des peuples du Nord et du Midi ; elle a fondu, pour ain
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e dans les divers pays de l’Europe et la religion
chrétienne
y a puissamment contribué.50 Bien dira-t-on, mais la Réformation n’
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un cri d’union s’élève et que l’universalité des
chrétiens
aspire à professer la même religion théologique, politique et morale,
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elle, plus tard un peu de folie slave, et le sens
chrétien
de l’amour qui tout embrasse, — pour cet homme elle eût proposé l’uni
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e à l’île de Chypre, c’est sans doute la religion
chrétienne
et son empreinte même sur les incroyants. Mais la religion chrétienne
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preinte même sur les incroyants. Mais la religion
chrétienne
n’est pas plus uniforme que ne le sont l’islam ou le bouddhisme, et s
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lui a beaucoup parlé du Plan d’union des royaumes
chrétiens
que le Français Pierre Dubois a écrit cinquante ans plus tôt. Podiebr
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’ Esprit (1933) intitulé « Rupture entre l’ordre
chrétien
et le désordre établi ». Mounier et Maritain s’y exprimaient comme ca
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res de la pseudo-démocratie ». C’est les nouveaux
chrétiens
qui, à Esprit , saluent l’Action française qui « lutta courageusemen
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ion entre individu et personne se fonde la notion
chrétienne
de l’homme telle que l’ont élaborée les grands conciles, de Nicée à C
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indigne de ce qu’Emmanuel Mounier lui-même, le «
chrétien
», l’« homme de gauche », cède au grand vertige et reconnaisse aux fa
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e trouve que les « vertus » de la colonne II sont
chrétiennes
, celles de la colonne I idolâtres. 68. Le franco-provençal, parfoi