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nt au terme dans les années 1930. À l’occasion du
colloque
qui nous réunitb, je tiens à renouveler mes responsabilités dans cett
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, printemps 1978, p. 17-25. b. Indiquer de quel
colloque
il s’agit. c. Rougemont en rend compte dans ce même numéro de Cadmos
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hropologie chrétienne. Rejoignant le sujet de ce
colloque
, je voudrais rappeler maintenant que Michel Foucault, dans son livre
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onclusions que nous espérions pouvoir tirer de ce
colloque
, en opposant à l’attitude mentale qu’implique la théorie de la « mort
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, automne 1978, p. 100-105. g. Préciser de quel
colloque
il s’agit.
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« L’Avenir est votre affaire », pour annoncer son
colloque
« d’expérimentateurs sociaux », autour d’Ivan Illich. 16. Cf. notamm
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nes environ sur la carte qu’avait dressée pour le
colloque
tenu au Conseil de l’Europe en 1972, V. von Malchus, et qui chevauche
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e, printemps 1979, p. 5-12. j. Préciser de quel
colloque
il s’agit.
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le cas décisif des régions transfrontalières. Les
colloques
réunis sous les auspices du Conseil de l’Europe ont permis de dresser
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e des régions , 1968 ; L’Europe des régions II (
colloque
de l’AIEE), 1969 ; L’Europe des régions III , Confrontation des régi
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eu ou point de cours magistraux, mais surtout des
colloques
restreints, groupant au maximum vingt personnes, à l’optimum une douz
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n la cherche en commun, sans relâche. Au sein des
colloques
règne une liberté spontanément disciplinée par la critique mutuelle.
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par la critique mutuelle. Deux meneurs de jeu par
colloque
, et ils ne peuvent appartenir à la même spécialité. Quant au contenu
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donné un article de gazette. » Mea culpa… Mais ce
colloque
, au-delà de toute neutralité, devrait enfin nous décider à percevoir
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égions transfrontalières de l’Europe » : actes du
colloque
de l’Association des instituts d’études européennes, Genève, 1975 ; «
16
Les politiques régionales en Europe » : actes du
colloque
de l’Association des instituts d’études européennes, 1982, Genève, so
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tâche absolument impossible, celle de résumer un
colloque
comme celui-ci où le plus important ne saurait être résumé. Les mots
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dans ce que j’aurais à dire sur l’ensemble de ce
colloque
. Je crois que c’est le seul moyen de m’en tirer, au moins en ne m’enn
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le reste auprès de vous tous. Il me semble que ce
colloque
, des trois que nous avons vécus ensemble depuis trois ans, a été de l
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née prochaine ? Je croyais qu’il parlait de notre
colloque
. J’étais absolument à côté de la réalité. Et je crois que je n’étais
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sentant six-cents personnes. Ce n’est donc pas un
colloque
, on appelle cela un forum et ce n’est pas par hasard. Nous nous somme
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ion. S’ils étaient d’accord, il n’y aurait pas de
colloques
. Mais, en fait, chercher ce qui nous unit est, dans le cas présent, l
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sujet —je vous en trouverai d’autres — de nouveau
colloque
. Mais j’en reviens à notre deuxième thème, la sémantique. M. Grossrie
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il fallait étudier de près. Voilà encore un autre
colloque
à préparer pour une autre année ! Je crois bien que, lors de ce débat
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peut-être le nœud du problème qui se posait à ce
colloque
. Il y avait quelque chose de nodal, de central, et j’ai eu l’impressi
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ois que ce moment-là a entièrement justifié notre
colloque
. Il y a eu une extrême richesse aussi, ce jour-là, dans les intervent
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cours des trente dernières années, en tenant nos
colloques
, ou en créant des instituts pour l’étude de la culture européenne, a
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ation occidentale. Je vois là un nouveau sujet de
colloque
extrêmement important. Ce serait un Dialogue des cultures, un dialogu
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ersonnes. Et voilà sans doute le sujet d’un autre
colloque
encore, pour ce groupe. Mais, bien plus, il me semble que c’est là, e
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c’est là, en quelque sorte, le sujet de tous les
colloques
qu’il vaut la peine d’organiser sur le modèle de celui-ci. Ce qui me
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ans doute l’atmosphère joyeuse qui a régné sur ce
colloque
depuis trois jours. Je crois bien n’avoir jamais autant ri au cours d
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, p. 231-238. u. Ce texte est la conclusion d’un
colloque
organisé du 10 au 12 mai 1984 à Genève par Jacques Freymond, sur le t