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des vraies luttes et des vrais engagements. »
Conclusion
J.-P. Sartre, auquel nous devons tant de thèses célèbres encore qu
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. 147). Ceci posé, et maintenu fermement dans les
conclusions
de son essai, André Reszler se livre à la malice de citer au sujet du
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régions fédérées. Je pense avoir ici rejoint les
conclusions
que nous espérions pouvoir tirer de ce colloque, en opposant à l’atti
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éreux étourdi s’est visiblement trompé de titre.)
Conclusion
: « Le livre infâme de Rougemont » éclaire bien la politique des fédé
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isent d’une manière nécessaire, à mon sens, à des
conclusions
politiques d’importance décisive au seuil de la campagne pour la prem
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en formule les finalités, ou à tout le moins les
conclusions
. La deuxième solution est retenue. Nous discuterons pendant trois moi
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s rapides, c’est tellement plus important que les
conclusions
solennelles que l’on pourrait tirer de nos débats, que je crois que j
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ais être aussi peu objectif que possible dans mes
conclusions
, dans ce que j’aurais à dire sur l’ensemble de ce colloque. Je crois
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nt sûr que cela ne risquerait pas d’aboutir à des
conclusions
pratiques éventuellement dangereuses pour les uns ou les autres. Mais
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nne. Là-dessus, il m’est difficile de dégager des
conclusions
sur ce que nous avons fait aujourd’hui même. Je ne puis guère vous do
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rd’hui même. Je ne puis guère vous donner que des
conclusions
personnelles, auxquelles je suis arrivé déjà depuis une trentaine d’a
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de leur piraterie ! Je propose donc cette seconde
conclusion
: la culture européenne n’est pas la plus belle, n’est pas la seule,
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rupules que je devrais avoir à vous présenter des
conclusions
aussi exorbitantes, c’est sans doute l’atmosphère joyeuse qui a régné
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i Jacques Freymond ! t. Rougemont Denis de, « [
Conclusions
] La culture commune des Européens et le débat Est-Ouest », Cadmos, Ge
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, Cadmos, Genève, p. 231-238. u. Ce texte est la
conclusion
d’un colloque organisé du 10 au 12 mai 1984 à Genève par Jacques Frey
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sseur Vedovato a donné à ce texte la valeur d’une
conclusion
quelque peu contestataire aux vœux pies d’une impeccable prudence — p
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Les trois années qui suivirent furent celles des
conclusions
, lentement dégagées par l’histoire, des impasses et contradictions ma
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à Strasbourg, en mars 1956, chargés de tirer les
conclusions
des travaux de Rome. D’une manière significative, ils se divisèrent e
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rang des constructeurs d’une Europe fédérale.
Conclusion
: une urgence nouvelle Trente-cinq ans, ce n’est pas l’heure des b
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i va prendre l’initiative d’en tirer d’immédiates
conclusions
? Qui est le mieux placé pour le faire ? Je vois seulement ce qui est