1
rintemps. Et tout débouche au xxe siècle sur une
crise
non seulement de la culture mais de l’idée même de culture, sur le di
2
ment de plus en plus nettement politique après la
crise
du pétrole (1973) et la politique du « tout nucléaire » préconisée dè
3
urope porte la plus lourde responsabilité dans la
crise
actuelle de civilisation, et qu’elle doit au monde de lui montrer un
4
and leurs rapports avec les magistrats entrent en
crise
. Les étudiants se répartissent en « nations » (nationes) c’est-à-dire
5
oit la seule issue possiblement heureuse de notre
crise
. Petites unités autonomes de recherches et de contestation comparable
6
e « Déclaration du Collège de sociologie » sur la
crise
mal dénouée à Munich et sur les prolégomènes à la Seconde Guerre mond
7
pier et de s’approprier les causes mêmes de notre
crise
; — ni assurer l’approvisionnement nécessaire en matières premières e
8
Mais leur temps va passer inexorablement, et les
crises
mêmes qu’ils gèrent chacun à sa manière risquent de provoquer en s’ag
9
hacun de nos pays ait des chances de surmonter sa
crise
nationale, l’union seule peut les y aider. Pas un mot n’a été prononc
10
ible de milliards, j’ai vu commencer là la grande
crise
du monde moderne qui peut le conduire à son anéantissement. Car vous
11
eu des hauts et des bas. Nous avons traversé une
crise
assez forte ces dernières années. Cela m’a obligé de continuer à m’oc