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c’est l’inverse qui se vérifie historiquement. Le
dogme
de l’Incarnation est en effet à l’origine de la science européenne. C
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ction26. Mais comment accorder tout cela avec le
dogme
de la sacro-sainte souveraineté nationale ? La réponse a été donnée d
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La souveraineté nationale, assurait-il, est « un
dogme
périmé… Depuis cinquante ans, c’est une erreur… Nos descendants assoc
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ini avec une grande rigueur dans ce traité, où le
dogme
de la souveraineté nationale absolue, constitué sous Philippe le Bel
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t va se produire d’ailleurs non sur le terrain du
dogme
, comme on s’y attendait, mais sur celui de l’organisation de l’Europe
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qui est alors le seul nom de l’Europe —, fonde le
dogme
occidental de la souveraineté d’abord limitée, finalement absolue, de
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uvait lire : « [La souveraineté nationale est] un
dogme
périmé… depuis cinquante ans. Nos descendants associeront sans doute