1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). Contribution à une recherche éventuelle sur les sources de la notion d’engagement de l’écrivain (printemps 1978)
1 ste, beaucoup plus rarement fasciste ou d’extrême droite , c’est-à-dire d’écrivain embrigadé dans un parti totalitaire ou un gr
2 nt jetés dans le premier parc venu, à gauche ou à droite , et depuis lors y bêlent d’une voix aigre et anxieuse, tout en signan
2 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
3 ope ne serait-elle pas celle des nationalistes de droite et de gauche qui dénoncent comme utopie ou idylle naïve les condition
3 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
4 rte qu’ils soient pour ou contre, de gauche ou de droite , européistes ou nationalistes ? Leurs formules dramatiques reflètent
4 1979, Cadmos, articles (1978–1986). Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (printemps 1979)
5 es dans les HLM, etc. Aux yeux des politiciens de droite , l’écologie est un complot contre « la société existante », aux yeux
5 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
6 ons Lévy, p. 19 de son travail. C’est la vieille droite , bien sûr, qui fustige avec ardeur le « stupre » et le « cloaque » de
7 éfinitif du personnalisme7) » ; et c’est la jeune droite qui, avec Bardèche ou Drieu, s’engage à « marcher avec n’importe quel
8 oisent, se chevauchent, se répondent. Là, ceux de droite , tenus par leurs sombres thuriféraires, bien connus, les Drieu, de Ro
6 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
9 s doute déjà plus maîtrisable. L’index de la main droite du président ne sera plus que le dernier élément de transmission d’un
10 actuels, du communisme nationaliste77 à l’extrême droite jacobine et du socialisme traditionnel à la droite « moderne » — c’es
11 roite jacobine et du socialisme traditionnel à la droite « moderne » — c’est la Souveraineté nationale, inaliénable, une et in
7 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Chronique européenne : La préparation des élections européennes (printemps 1984)
12 stes). C’est dans le débat des partis, tant de la droite que de la gauche, que l’argument européen retrouve un intérêt relatif
13 ). Mais pour peu que Lionel Jospin ironise sur la droite  : « Ni M. Giscard d’Estaing, ni M. Barre, ni même M. Chirac ne s’enga
14 il », Jacques Chirac réplique le lendemain que la droite doit « se défoncer » pour que la liste de Simone Veil fasse la plus g
15 ait à la télévision française Simone Veil pour la droite et Lionel Jospin pour la gauche. Il en est résulté à l’évidence que n
16 gauche. Il en est résulté à l’évidence que ni la droite ni la gauche ne considèrent l’Europe comme quelque chose qu’il faut u
17 rlait. Il s’agissait de savoir si la gauche ou la droite étaient plus ou moins cohérentes avec leur image de combat, et laquel
18 ’Europe, et cela qu’ils se disent de gauche ou de droite , ou qu’ils soient simplement considérés comme tels. Quelques exemples
19 faire . « Jeunes giscardiens » : on se croirait à droite . « Les Verts » : voilà qui évoque plutôt la gauche (sans raison série
8 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
20 rs des partis. Notre devise était « ni gauche, ni droite , mais en avant, devant les problèmes ». Nos idées ont joué un certain
21 ; les totalitaires, qu’ils soient de gauche ou de droite , les fascistes italiens, les nazis allemands, les staliniens en Russi
22 e du Gothard avec des gens que nous avions pris à droite et à gauche conformément à ma philosophie « ni gauche ni droite, mais
23 uche conformément à ma philosophie « ni gauche ni droite , mais en avant, devant les problèmes », il y a eu un incident qui a c