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ste, beaucoup plus rarement fasciste ou d’extrême
droite
, c’est-à-dire d’écrivain embrigadé dans un parti totalitaire ou un gr
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nt jetés dans le premier parc venu, à gauche ou à
droite
, et depuis lors y bêlent d’une voix aigre et anxieuse, tout en signan
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ope ne serait-elle pas celle des nationalistes de
droite
et de gauche qui dénoncent comme utopie ou idylle naïve les condition
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rte qu’ils soient pour ou contre, de gauche ou de
droite
, européistes ou nationalistes ? Leurs formules dramatiques reflètent
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es dans les HLM, etc. Aux yeux des politiciens de
droite
, l’écologie est un complot contre « la société existante », aux yeux
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ons Lévy, p. 19 de son travail. C’est la vieille
droite
, bien sûr, qui fustige avec ardeur le « stupre » et le « cloaque » de
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éfinitif du personnalisme7) » ; et c’est la jeune
droite
qui, avec Bardèche ou Drieu, s’engage à « marcher avec n’importe quel
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oisent, se chevauchent, se répondent. Là, ceux de
droite
, tenus par leurs sombres thuriféraires, bien connus, les Drieu, de Ro
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s doute déjà plus maîtrisable. L’index de la main
droite
du président ne sera plus que le dernier élément de transmission d’un
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actuels, du communisme nationaliste77 à l’extrême
droite
jacobine et du socialisme traditionnel à la droite « moderne » — c’es
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roite jacobine et du socialisme traditionnel à la
droite
« moderne » — c’est la Souveraineté nationale, inaliénable, une et in
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stes). C’est dans le débat des partis, tant de la
droite
que de la gauche, que l’argument européen retrouve un intérêt relatif
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). Mais pour peu que Lionel Jospin ironise sur la
droite
: « Ni M. Giscard d’Estaing, ni M. Barre, ni même M. Chirac ne s’enga
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il », Jacques Chirac réplique le lendemain que la
droite
doit « se défoncer » pour que la liste de Simone Veil fasse la plus g
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ait à la télévision française Simone Veil pour la
droite
et Lionel Jospin pour la gauche. Il en est résulté à l’évidence que n
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gauche. Il en est résulté à l’évidence que ni la
droite
ni la gauche ne considèrent l’Europe comme quelque chose qu’il faut u
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rlait. Il s’agissait de savoir si la gauche ou la
droite
étaient plus ou moins cohérentes avec leur image de combat, et laquel
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’Europe, et cela qu’ils se disent de gauche ou de
droite
, ou qu’ils soient simplement considérés comme tels. Quelques exemples
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faire . « Jeunes giscardiens » : on se croirait à
droite
. « Les Verts » : voilà qui évoque plutôt la gauche (sans raison série
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rs des partis. Notre devise était « ni gauche, ni
droite
, mais en avant, devant les problèmes ». Nos idées ont joué un certain
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; les totalitaires, qu’ils soient de gauche ou de
droite
, les fascistes italiens, les nazis allemands, les staliniens en Russi
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e du Gothard avec des gens que nous avions pris à
droite
et à gauche conformément à ma philosophie « ni gauche ni droite, mais
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uche conformément à ma philosophie « ni gauche ni
droite
, mais en avant, devant les problèmes », il y a eu un incident qui a c