1 par son allure même. Que le style s’ordonne à sa fin et non plus à de bons modèles. Et qu’il rappelle à la situation, au l

2 sme ? » se demande l’auteur, lorsqu’il tente à la fin de son essai d’en récapituler les données. C’est tout d’abord « l’att

3 istante », aux yeux des politiciens de gauche, sa fin principale paraît être « d’enlever des voix au parti socialiste » ou

4 ommes. Un sondage publié par la CEE de Bruxelles fin janvier 1979 donne les résultats suivants en réponse à la question :

5 issant sans cesse librement, qui s’étendrait à la fin à tous les peuples de la terre. Pour Hegel, une génération plus tard

6 génération plus tard, l’Europe est vraiment « la fin de l’Histoire dont l’Asie est le commencement ». Elle est le lieu où

7 ’angoisse, durant mes années d’exil américain, de fin 1940 à 1946. Mais à mon premier retour en Europe, en 1946, ce que je

8 ts », qu’elle est « au plus bas », que « c’est la fin  » et que nous voici tous « enchaînés, humiliés, malades de peur ». Jo

9 dans les milieux intellectuels français en cette fin des années 1970. 32. L’Europe n’était guère représentée, jusqu’à l

10 arues ? Part de la gratuité, de la nécessité, des fins utilitaires, de l’imagination débridée, de la foi, du doute, de la mé

11 out. Vraiment européenne, puisqu’elle aurait pour fin de recréer l’union dans la diversité, qui est la formule de notre gra

12 nce fondamentale : la Nouvelle Jérusalem est à la fin des temps, bien plus : sa venue marque la fin des temps, elle est dan

13 la fin des temps, bien plus : sa venue marque la fin des temps, elle est dans « ce qui vient » de l’au-delà du temps. Il y

14 t radicale. Pourtant, elle touche l’Histoire à sa fin , elle apparaît donc situable non dans l’Histoire, mais par rapport à

15 a mystique à l’histoire, de « ce qui vient » sans fin à « ce qui s’établit », s’institue, sécrète son architecture, comment

16 la psychiatrie et de la pensée politique en cette fin du xviiie siècle.46 Tout cela va se concrétiser, dramatiquement, se

17 ttéralement u-topique. Je suis loin d’annoncer la fin de l’État-nation, comme on l’a dit. Je constate qu’il fonctionne de p

18 ales absolues, à la guerre nucléaire, qui sera la fin de l’histoire — du moins de celle des civilisations. Contre l’État-na

19 délimite pas, elle se reconnaît », disait vers la fin du siècle passé le grand géographe français Vidal de la Blache. Il dé

20 ande pour déclencher une guerre atomique, mettant fin au genre humain. Ceci nous permet d’espérer. 7. Mon propos dans tout

21 r et du futurum aeternum ; du dieu qui vient sans fin vers nous — Dieu à-venir. 45. J’emprunte tout cela — hélas, beaucou

22 venu le problème économique le plus brûlant de la fin du xxe siècle : preuve de plus de la précédence à tout le moins chro

23 social ou politique, autrement qu’à partir de sa fin anticipée, imaginée, ou révélée aux yeux de l’esprit. L’homme n’entre

24 e de Liberté, Mickiewicz n’entend pas — sauf à la fin de sa vie — libération sociale ou liberté civique en général, mais li

25 me agnostique sympathisant avec nos positions. En fin de numéro, deux notes intitulées « Ceux qui ont commencé » émanaient

26  : « qui rend compte du tout de l’homme et de ses fins les plus lointaines°. — les mots « révolutions avortées » qu’il cite

27 « trop simples » (Auschwitz ? Goulag ?), mais des fins dernières au nom desquelles les totalitaires prétendent justifier ces

28 dans le premier chapitre. La dernière figure à la fin du livre. Non seulement les personnalistes sont anticapitalistes, do

29 fication délirante de l’histoire ? Mais à quelles fins  ? Ce qu’il importe de dénoncer ici, c’est l’injustice brutale qui fai

30 çais, l’anglais, plus tard le castillan, entre la fin du xiie et les débuts du xiiie siècle. Les légistes de Philippe le

31 s. 3. Confusion générale des concepts De la fin du xiie siècle à l’aube du xixe , les termes de nation, de peuples o

32 iques et chimiques (guerre ABC) peut entraîner la fin du genre humain. Étapes chronologiques d’abord (I), puis dialectique

33 a mission divine : « Il n’est libre ni quant à la fin qu’il poursuit, ni quant aux moyens qu’il emploie. » Il doit respecte

34 ppelé burgondien, a été parlé du ixe siècle à la fin du xviiie siècle dans la région délimitée grosso modo par les trois

35 e que par l’influence des romanciers russes de la fin du xixe , puis de la musique des débuts du xxe siècle. Ce qu’on peut

36 Lorsqu’en mai 1948, trois ans exactement après la fin de la guerre, l’idée européenne a pris forme, c’était au congrès de L

37 lus la protéger, notre Europe désunie marche à sa fin . Aucun de nos pays ne peut prétendre, seul, à une défense sérieuse de

38 obablement » et que « Paul Reynaud en est ». À la fin du concert, André Philip m’expose enfin l’affaire en dix minutes. Il

39 ur Mouskhély. Il m’avait averti de son projet dès fin août. Il me demande aujourd’hui de rédiger le texte du message que le

40 t périmées dont nous espérons que vous hâterez la fin . Aujourd’hui, nous voici six-mille accourus vers Strasbourg de tous l

41 5. Activités du Conseil de l’Europe Dès la fin des années 1950, faute d’avoir résolu le vrai problème : celui de ses

42 lles — le mot un peu désabusé de Jean Monnet à la fin d’une carrière toute consacrée à la construction de l’Europe : « Si c

43 épart, et rétablir avec vigilance la primauté des fins que se donne une société, et la conformité de ces fins proclamée avec

44 que se donne une société, et la conformité de ces fins proclamée avec des moyens politiques et les activités économiques qu’

45 de l’importance des valeurs culturelles. À cette fin , ils ont invité le Comité des ministres du Conseil de l’Europe à dema

46 itutionnelles ». Le CE, pour sa part, a institué, fin 1984, la « Commission Colombo », formée de personnalités indépendante

47 us actif au Centre européen de la culture, dès la fin de l’année. 90. CNPF : Centre national du patronat français. 91. Un

48 et qui durerait un ou deux mois, aboutirait à la fin de toute vie sur terre, ne serait-ce que par l’apparition de ce qu’on

49 ume. Il nous dit : « Toute action doit avoir pour fin l’homme ; c’est à nous d’inventer l’avenir », nous confiant que l’œuv

50 rview que nous vous présentons a été réalisé à la fin septembre par M. Guido Ferrari de la Télévision suisse italienne. Cad