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ssage initial ou final du congrès, en formule les
finalités
, ou à tout le moins les conclusions. La deuxième solution est retenue
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t résolument « européennes » à la fois dans leurs
finalités
culturelles et dans leurs pratiques internationales : traductions, dé
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savoir pur et de l’objectivité de la science, les
finalités
mêmes de l’institution. De fait, l’histoire de l’Université, à partir
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s à gagner leur vie, non plus à en comprendre les
finalités
. IV. Retour aux petites unités Au lendemain de l’agitation des
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-à-dire d’une décision de ne pas tenir compte des
finalités
, mais seulement des processus mécaniques opérant dans un milieu artif
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effet n’est régulée ni par sa fonction ni par ses
finalités
génériques ou spirituelles. On dirait qu’elle résulte du rêve de rend
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umanité »56. Car elle savait surtout que la vraie
finalité
d’une union qui mérite le nom d’européenne, ne saurait être que l’hom
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gements d’attitudes, de devises, et subitement de
finalités
qui s’organisent en un système alternatif. On voudrait esquisser ici,
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itte à changer de buts. Mais les responsables des
finalités
font voir les buts, critiquent au nom des buts, et les rappellent en
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te d’avoir résolu le vrai problème : celui de ses
finalités
politiques au sens large, le Conseil de l’Europe va se vouer à plusie
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ouvoir la participation ». Ils affirment que « la
finalité
de nos sociétés est de permettre à chacun de s’épanouir dans la liber
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uissance, on oublie l’essentiel, c’est-à-dire les
finalités
de ce que l’on fait. Par exemple, on invente ce qui permet de faire d
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s à les appliquer sans aucune mesure, sans aucune
finalité
, sans aucune règle sauf celle de vaincre, de tuer le plus possible d’
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e sait. Pourquoi ? Parce que l’homme a oublié les
finalités
: il croit que la finalité c’est la puissance. Or, la finalité c’est
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l’homme a oublié les finalités : il croit que la
finalité
c’est la puissance. Or, la finalité c’est évidemment la liberté de l’
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croit que la finalité c’est la puissance. Or, la
finalité
c’est évidemment la liberté de l’homme, de l’homme considéré non pas
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ur l’homme, et non le contraire. Les deux grandes
finalités
que l’on doit rechercher en faisant une société, ce n’est pas la puis
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té (cela a l’air grandiloquent de le dire), comme
finalité
suprême à toute société et à toute vie humaine, en même temps ces tro
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les principes que vous énoncez ? Pour servir les
finalités
suprêmes de l’homme, libre et responsable, et aimer d’une manière act
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uisse, tendance qu’il nous faut combattre. Si les
finalités
sont liberté, responsabilité, amour actif du prochain, de petites com
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je me suis dit : puisqu’il nous faut partir d’une
finalité
de l’homme et des valeurs les plus communes aux Européens, cela veut
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lture. Je conçois la culture comme l’ensemble des
finalités
et des valeurs communes à tous les Européens, qu’ils soient Français,
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a pour titre La Morale du But , la politique des
finalités
. Une œuvre presque achevée. Quel avenir, Monsieur de Rougemont ? Je d
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ennent maintenant à cette idée des valeurs et des
finalités
communes de la culture. Pour être plus concret, plus précis : la ques
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crois, en une seule phrase : il y a deux grandes
finalités
qui se partagent l’humanité et qui fonctionnent dans tout homme, la p