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s du monde entier ». Dans ce mouvement profond et
général
de retour aux sources, André Reszler me paraît tenté de voir un sympt
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le prestige de son État-nation avant toute vérité
générale
ou personnelle aussitôt réputée « abstraite », ou « pacifiste », ou «
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effectuée le 1er juillet 1977, dans l’inattention
générale
. C’était pourtant le premier achèvement du grand dessein de Jean Monn
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réalité vécue de notre continent qu’une confusion
générale
des esprits quant à la vraie nature de l’Europe dont ils parlent. Cet
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suffrage universel de l’Assemblée européenne, le
général
est positif : « On ne fera pas l’Europe si on ne la fait pas avec les
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on qui a réussi. » M. J. Vendroux, beau-frère du
Général
, déclare à l’Assemblée nationale, en 1959, « qu’il s’est toujours mon
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ment avec passion de leur fidélité à la pensée du
Général
, c’est bien le sujet des régions et de l’Europe des régions : de Geor
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rassembler tous les discours, propos et textes du
Général
et de ses proches touchant les problèmes de l’Europe, de 1940 à 1960,
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940 à 1960, le terme ne figure même pas à l’index
général
29. Il n’empêche que les principaux ténors de la doctrine — dont M. D
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France. Mais s’agissait-il bien de la doctrine du
Général
? Celle-ci est exposée pour la première fois dans son principe et dan
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loppements immédiats lors du discours tenu par le
Général
à la Foire de Lyon de 1968. À la séculaire centralisation étatique, q
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rt, en 197030, le problème des régions offrait au
Général
un point de chute idéal. Le paladin de l’Europe des nations et d’une
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parfois d’heure en heure, les propos spontanés du
Général
et ses confidences (à l’Histoire ?) au cours de la semaine précédant
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aulle, il n’y avait pas de doute : l’intention du
Général
était de mettre la régionalisation en place et de se retirer ensuite.
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évoquant le référendum devant deux visiteurs, le
général
déclare : Eh bien, je vais vous dire, si ça marche, ce sera très bie
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Colombey. Devant ses anciens collaborateurs, le
Général
manifestait quelquefois une certaine satisfaction : celle d’avoir « r
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comme un « espace de participation civique ». Le
général
ajoute : La réforme des régions, c’était le dernier service que je p
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rahissent ouvertement le dernier Grand Dessein du
Général
en se rangeant au parti jacobin, antifédéraliste et antieuropéen.
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ves, nées chaque fois de l’émergence d’une menace
générale
dont quelques grands esprits devinaient seuls l’approche ou ressentai
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re les raisons — si on ose dire — de la défection
générale
dont nous sommes aujourd’hui les témoins. Je considère le De Monarch
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égendaire et païen d’Europe. Dans sa Cosmographie
générale
, il le décrit comme un ensemble humain et historique, non plus vaguem
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réflexes de l’âme collective, en vue d’une guerre
générale
que personne ne veut, paraît-il, que tout prépare et qui éclatera le
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s passionnées et hargneuses jalonnent l’évolution
générale
des « intellectuels » face à l’Europe, dans les années 1950 et 196039
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e, économique et sociale, d’autre part. Condition
générale
d’admission : avoir prouvé son excellence dans une branche au moins d
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tique et sur la sémiologie de Saussure. Recherche
générale
de procédés de translation des méthodes, démarches spécifiques, et ré
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et institut de recyclage et de remise en question
générale
, et c’est aussi ce que nous attendons tous de nos vacances. Après un
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versité, puisqu’elle traiterait spécifiquement du
général
, en vue d’entretenir ou de former une image cohérente du Tout. Vraime
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ribune officielle le même rang qu’un préfet ou un
général
de division. On les croyait voués à la recherche du Vrai. m. Rougem
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rés ne puissent plus être bien réguliers). L’idée
générale
est de détruire le tissu vivant des attachements locaux — patriotique
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s produits et denrées la richesse et le bien-être
général
de l’humanité »56. Car elle savait surtout que la vraie finalité d’un
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ugiés en Suisse ; et moi, officier à l’état-major
général
de l’armée suisse, organisant en juin 1940 le premier mouvement de ré
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aties. Le Collège de sociologie regarde l’absence
générale
de réactions vives devant la guerre comme un signe de dévirilisation.
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t donc pratiquement sans limites. 3. Confusion
générale
des concepts De la fin du xiie siècle à l’aube du xixe , les term
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uivi comme « coupable d’attentat contre la sûreté
générale
de la République ». Peu après (avril 1793), la Convention désigne dan
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d du Dauphiné. (Note de l’auteur.) 69. Histoire
générale
de l’Europe, dirigée par G. Olivier et R. Mousnier, t. I, Des origine
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désigner cette chose, ce « machin » aurait dit un
général
que vous connaissez. Il y a eu toutes sortes de propositions. M. Bold
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, et que le thème de Budapest sera une discussion
générale
, donc un forum culturel, sur la sécurité en Europe. De cette discussi
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vec lesquels j’ai déjà eu quelques contacts. Idée
générale
: organiser un « Serment du Jeu de Paume » européen, par lequel les «
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t bien depuis plus d’un siècle, à la satisfaction
générale
, et dont la recette n’était pas trop complexe : non pas « abandonner
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inventeurs » de la fission de l’atome. Rapporteur
général
, le professeur Max Beloff, allait tirer de l’ensemble de ces travaux
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rmements et gendre de Churchill, et le Secrétaire
général
, le Polonais Joseph Retinger, qui avait été « l’éminence grise du con
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rrangez ! » Le 24 août, Victor Larock (rapporteur
général
) me cite trois fois dans son discours : « D. de R. dans les Lettres
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déchaînement dans le grand état-major et chez le
général
. J’ai été mis aux arrêts immédiatement pour atteinte à la neutralité
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ur les pentes du Gurten, au-dessus de Berne. « Le
général
vous condamne à quinze jours de forteresse dans le Valais, au pain, à