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1. Puis il y a eu à Paris un congrès du RPR (les
gaullistes
orthodoxes) qui pour défendre « la vraie Europe » a sifflé et conspué
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e sept lieues ! »12 Il s’agissait alors, pour lui
gaulliste
, d’une Europe des États, c’est vrai, mais cependant dotée d’une « Ass
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n d’un continent entièrement dominé par la nation
gaulliste
. Ils condamnent toute fédération comme attentat délibéré à l’intégrit
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ciens, les pires exemples de délire nationaliste (
gaullistes
et communistes à l’envi) et par son peuple, les raisons les plus rais
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n « Essai de déclaration » rédigé par les membres
gaullistes
du Parlement européen cite M. Couve de Murville comme ayant déclaré :
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t les régions S’il est un sujet sur lequel les
gaullistes
d’aujourd’hui se réclament avec passion de leur fidélité à la pensée
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ui s’y sont ajoutés, de 1963 à 1979. La thèse des
gaullistes
durs sur la région est totalement négative. Dans les deux volumes de
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ce petit livre, dont on comprend si bien que les
gaullistes
l’aient passé sous silence. Pour Philippe de Gaulle, il n’y avait pa
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ui éclate à l’évidence, c’est que les « fidèles »
gaullistes
trahissent ouvertement le dernier Grand Dessein du Général en se rang