1
t précis où soudain la joie cesse de soutenir son
grand
lyrisme ; Rimbaud enfin, celui de la Saison, étreignant la « réalité
2
qu’il imagine, soit avec l’une des composantes du
grand
complexe européen, dont il révèle ainsi qu’il fait partie par le seul
3
a fait ses études en Suisse et professé dans une
grande
université américaine avant de revenir à Genève s’intégrer à l’équipe
4
« Nietzsche décèle dans la musique wagnérienne la
grande
fatigue, cette maladie fatale de la volonté européenne : toute musiqu
5
aux mêmes sources dont les colonialistes puis les
grands
capitaines de l’expansion des machines, du béton et de la pollution u
6
art, de l’attachement profond d’André Breton à la
grande
tradition de l’ésotérisme renaissant, au romantisme allemand et à la
7
nauté. Le terme de personne a été élaboré par les
grands
débats conciliaires de Nicée (325) et de Chalcédoine (452). Ces deux
8
l’on puisse agir. La personne se dissout dans les
grandes
dimensions, celles des villes millionnaires par exemple. Mais pour qu
9
nérale. C’était pourtant le premier achèvement du
grand
dessein de Jean Monnet, inspirateur de l’Europe économique, son premi
10
tiques industrielles et commerciales. II. « La
grande
question » Les choses ont-elles vraiment changé depuis ces années
11
e ">Le Figaro du 6 novembre. Mais au fond, la
grande
question que se posent les états-majors des partis est la suivante :
12
en l’île de la Réunion !) Et il ajoute : « Un des
grands
auteurs supranationaux est Denis de Rougemont. Il est Suisse, donc Eu
13
: la conscription obligatoire et universelle ; la
grande
presse (grâce à l’invention de la linotypie) et les agences d’État :
14
che d’ozone ; parcs nationaux et dénonciation des
grands
ensembles ; mesures contre la pollution des eaux de table, mais aussi
15
la fois trop petit (à l’échelle mondiale) et trop
grand
(à l’échelle des régions) pour jouer encore son rôle d’État — d’anima
16
termes européens : Ne confiez jamais à une plus
grande
unité ce qui peut être fait par une plus petite. Ce que la famille pe
17
n main leurs destins »20. Il est faux que le plus
grand
soit le plus efficace. E. F. Schumacher a démontré le contraire, d’un
18
ur le référendum sur les régions. C’est sur cette
grande
idée nouvelle qu’il a choisi de livrer la bataille décisive de son rè
19
let 1969 il redit que « partir sur le refus d’une
grande
réforme n’est pas mauvais » et il ajoute, — amer, cette fois-ci — « J
20
es » gaullistes trahissent ouvertement le dernier
Grand
Dessein du Général en se rangeant au parti jacobin, antifédéraliste e
21
e l’émergence d’une menace générale dont quelques
grands
esprits devinaient seuls l’approche ou ressentaient l’action déjà pré
22
derne, de Vico, Montesquieu et Rousseau jusqu’aux
grands
écrivains européens de la première moitié du xxe siècle. Je retracer
23
ndu en un. » Deux siècles et demi plus tard, le
grand
humaniste Æneas Sylvius Piccolomini, devenu pape sous le nom de Pie I
24
uscité la prise de conscience de quelque chose de
grand
qui nous englobe, qui peut périr et qui attend de nous seuls sa renai
25
ous seuls sa renaissance. Et de nouveau, c’est un
grand
clerc, mieux, un homme de l’esprit, un poète, qui va dire les paroles
26
rables appels de celui qui fut sans doute le plus
grand
lyrique de l’idéal d’union européenne dans tous les congrès de la pai
27
go. Et au xxe siècle c’est encore un de nos plus
grands
poètes, Saint-John Perse, qui, sous son nom d’Alexis Léger, écrira le
28
ojet de fédération européenne est défini avec une
grande
rigueur dans ce traité, où le dogme de la souveraineté nationale abso
29
Père des peuples, du Duce et du Führer, les plus
grands
écrivains de nos pays (à l’exception de quelques cas de nationalisme
30
ent personnaliste ne consiste encore, aux yeux du
grand
public et surtout des pouvoirs, qu’en une poussière de ce qu’on nomme
31
e, il faut qu’elle soit intégrée aux cadres d’une
grande
culture européenne. C’est en visant à une unité de culture européenne
32
ire que l’Europe est « foutue », qu’elle est « en
grand
danger de crever », qu’elle « agonise », qu’elle « fait eau de toutes
33
: les revues et l’Europe À la génération des
grands
écrivains, poètes, essayistes, romanciers et philosophes des années 1
34
losophes des années 1900 à 1935, correspondent de
grandes
revues littéraires qui entretiennent un dialogue permanent au plus ha
35
ment, comme le vrai caractère distinctif face aux
grandes
cultures de l’Asie. Les couvents de la civilisation bénédictine ont é
36
ou externe a été appelée à trancher le débat… La
grande
époque du Moyen Âge ne se caractérise nullement par l’esprit d’orthod
37
organise une gendarmerie intellectuelle, dont le
grand
Maître est le général en chef, et où les recteurs ont rang d’officier
38
ns classique disparaîtra en France durant la plus
grande
partie du xixe siècle et sera remplacé par celui de « Facultés », qu
39
tative de libération, sinon d’un vrai retour à la
grande
liberté médiévale. Mais quels que soient les mérites intrinsèques du
40
iner les avantages des petites communautés et des
grands
moyens, tout se résume dans la formule de l’Europe des régions fédéré
41
ce, sous le nom d’Université européenne. Dans un
grand
parc, près de la mer, ou d’un lac, ou d’une large rivière, en pleine
42
elles de cette communauté peuvent être définies à
grands
traits comme suit : Quant à la forme : peu ou point de cours magistra
43
de la commune : 1. Les options fondamentales des
grandes
cultures, notamment de la culture européenne, et la logique ou les co
44
5. Européologie. Il existe dans la plupart de nos
grandes
universités des départements d’indianisme, de sinologie, d’islamologi
45
on dans la diversité, qui est la formule de notre
grand
passé et de notre avenir fédératif, le seul possible. L’Europe, c’est
46
’un des traits spécifiques de l’humain, selon les
grandes
religions. Quelques exemples : — hindouisme : le vrai spirituel, celu
47
econnaît », disait vers la fin du siècle passé le
grand
géographe français Vidal de la Blache. Il définissait là le contraire
48
n’y a pas une seule région réelle qui soit assez
grande
pour déclencher une guerre atomique, mettant fin au genre humain. Cec
49
de tous ces esprits-là. Tout au long de ses deux
grands
livres, De la Littérature et De l’Allemagne, elle le décrit et elle l
50
aucune relation ; ils sont dispersés souvent à de
grandes
distances l’un de l’autre ; mais quand ils se rencontrent un mot suff
51
e de Staël a très bien vu que plus la nation sera
grande
, plus grande sera la tentation de « sacrifier la morale à l’intérêt n
52
très bien vu que plus la nation sera grande, plus
grande
sera la tentation de « sacrifier la morale à l’intérêt national » et
53
’ouvrage sur l’Allemagne — qui est en réalité, un
grand
traité de la culture européenne — au sens le plus moderne et le plus
54
siècles. Demandons-nous d’abord quel est le plus
grand
commun dénominateur entre l’Europe de l’Est et l’Europe de l’Ouest. N
55
, géophysiques ou climatériques communes. Le plus
grand
commun dénominateur entre les Européens de Gibraltar à Moscou et du c
56
croire un moment que le passage à la Réforme des
grandes
familles de la noblesse, de la Schlachta, annonçait celui du roi lui-
57
tion durable dans 15 % de la population, les plus
grandes
familles demeurant généralement catholiques. Il serait passionnant de
58
matériels n’arrive pas à imposer l’union. Le plus
grand
dénominateur commun des Européens et les combinaisons spéciales de qu
59
coup plus vaste qu’exposent sa Didactica magna ou
Grande
Didactique, et son traité de la « Panpaedie » (resté inédit de son vi
60
reprend le métier de maître, esquisse un premier
grand
projet de réforme du genre humain par la pédagogie et par la concilia
61
rs, et où sera publiée après sa mort une première
grande
édition de ses œuvres. Dans la bibliographie de l’Unesco, je vois que
62
qui est encore, plus qu’on ne le croit, celle des
grands
penseurs de l’Est. Il y a là, de la part de l’opinion dans tous nos p
63
e elle, il tombera et ne se relèvera point. Et du
grand
édifice politique européen il ne restera pas pierre sur pierre. […] E
64
cri sera repris quinze ans plus tard par un autre
grand
poète, le Hongrois Alexandre Petőfi, aide de camp du général Bem, qui
65
avec ardeur le « stupre » et le « cloaque » de ce
grand
corps malade qu’est le tout-État démocrate ; mais c’est la vieille ga
66
nous voulons la vérité. Elles veulent la force du
grand
nombre et nous voulons la force personnelle, celle que donne la vérit
67
hrétienne de l’homme telle que l’ont élaborée les
grands
conciles, de Nicée à Chalcédoine, saint Augustin entre les deux, plus
68
ernier texte ayant été distribué dans le ciel des
grandes
villes des Pays-Bas occupés. « Nul besoin de présenter l’auteur dans
69
le « chrétien », l’« homme de gauche », cède au
grand
vertige et reconnaisse aux fascismes un « élément de santé », une « h
70
y suffiront : …Moralement, cela me paraît d’une
grande
force. Je crois très important votre diptyque des discours Hitler-Nie
71
querelle des Investitures, par exemple). Dans son
grand
ouvrage sur la Civilisation de l’âge classique (Arthaud, Paris, 1966)
72
ci qui résume tout cela dans Littré (1865) : « La
grande
nation, nom donné d’abord à la France républicaine, et dont l’empereu
73
nce, avait brisé les féodaux et les communes, les
grands
et les moyens feudataires du royaume, et faisait travailler pour son
74
travailler pour son compte exclusif un groupe de
grands
commis — dont Colbert est resté le type — qui avaient pour charge uni
75
chef d’entreprise parlant de ses bureaux, de ses
grands
secrétaires, ou même de son conseil. Dès 1793, l’État souverain (Comi
76
ffirme donc contre l’État diffus : barons, lords,
grands
feudataires, boïards, […] en s’appuyant sur un groupe de service, qui
77
ionalité ! », écrit-il, de l’École de Brienne, au
grand
chef corse Paoli73. Quant à Lénine, il détruisit en fait le pouvoir d
78
s, ce baron hollandais, Prussien de naissance, et
grand
inspirateur des jacobins. Condition d’une centralisation efficace : l
79
et obligatoire. Alignement des curiosités par la
grande
presse et les RTV que nourrissent les agences nationales. Alignement
80
religion du xxe siècle. Tout cela, qui était le
grand
dessein de Napoléon, mais qui après lui avait soulevé tant de résista
81
me se retourner contre l’homme et, selon les plus
grandes
probabilités, l’éliminer. Dès aujourd’hui, les ordinateurs des deux c
82
loin de conférer au président le pouvoir le plus
grand
jamais détenu par un seul homme, le phénomène de la guerre pousse-bou
83
lérées dans le jeu qui assure le pouvoir des deux
grands
, à la fois sur leurs propres peuples, sur les États désunis de l’Euro
84
es nucléaires, quelque chose agira sur l’index du
grand
chef et pèsera sur le bouton rouge, réduisant le monde en braises et
85
probabilités d’une catastrophe globale sont plus
grandes
que celles de la paix. Mais nul calcul n’est garanti contre l’erreur
86
on aujourd’hui bien connue : « Trop petit et trop
grand
à la fois. » En effet, les États-nations d’Europe sont à la fois (à d
87
uer un rôle effectif à l’échelle mondiale, — trop
grands
pour animer réellement leurs régions et pour résoudre les problèmes s
88
etits pour régler les affaires mondiales, et trop
grands
pour régler les affaires locales. » Dans ma Lettre ouverte aux Europ
89
s si on les regarde à l’échelle mondiale, et trop
grands
si l’on en juge à leur incapacité d’animer leurs régions, et d’offrir
90
nt annulée par les barrages antimissiles des deux
grands
. Ils sont trop petits dans le domaine économique pour répondre au « d
91
’échelle continentale ; et parce qu’ils sont trop
grands
, ils devraient se fédéraliser à l’intérieur. À l’occasion des premiè
92
rope unie — à commencer par des chefs de tous les
grands
partis politiques actuels, du communisme nationaliste77 à l’extrême d
93
l’œuvre de sa vie, A Study of History 80, le plus
grand
philosophe de l’Histoire, en notre siècle, Arnold Toynbee, fait sienn
94
» (Le Monde, 6 février). Mais tous les chefs des
grands
partis traditionnels allaient déclarer d’une seule voix qu’au contrai
95
passions partisanes qui ne s’obtient que dans les
grands
périls pour la patrie, n’implique aucun accord sur la question de l’E
96
» pour que la liste de Simone Veil fasse la plus
grande
majorité possible. Le 21 mai, un débat de 80 minutes marquant l’ouver
97
s européennes a confirmé, le 21 mai, que les deux
grands
partis considèrent la consultation du 14 juin comme un enjeu de natur
98
es ministres de la CEE, veto « qui nous donne une
grande
puissance ». Moyennant quoi, elle affirme que l’engagement du Parti c
99
eu réel du 17 juin est d’offrir aux électeurs des
grands
partis une occasion de se compter82. Plus spécialement ici, c’est le
100
in. Mais ce que l’on voit se définir avec la plus
grande
netteté, c’est la communauté de leurs vues sur l’Europe et même l’ide
101
e mensuel d’Europa-Union, qui paraît à Bonn. D’un
grand
article de Claus Schöndube consacré aux aspects positifs du PE — oui,
102
intelligente, et véritablement européenne. 82.
Grands
partis : il convient d’y ajouter un groupuscule intitulé La 3e gauche
103
us avons décidé, après avoir vu ces images sur un
grand
écran, qu’il n’y avait plus rien à ajouter et nous avons levé la séan
104
calement ces deux camps au point de créer le plus
grand
péril jamais encouru par l’humanité. Nous avons eu l’impression qu’au
105
r ami, quelque chose de tout à fait important. Le
grand
danger que nous avons couru au cours des trente dernières années, en
106
extraordinaire des sources, qui est beaucoup plus
grande
qu’on ne veut bien le dire d’habitude. Tout le monde, dans les pays l
107
tiers étant la population celte. Ce sont les deux
grandes
sources qui sont venues s’ajouter pour compliquer formidablement le j
108
e créer toutes opportunités de se rapprocher d’un
grand
but politique — dans notre cas, l’union de l’Europe — et celle de l’h
109
chefs syndicalistes, enfin les animateurs des six
grandes
associations pour l’Europe qui avaient conjointement organisé le cong
110
les d’outre-mer associés à nos destinées, la plus
grande
formation politique et le plus vaste ensemble économique de notre tem
111
échec par un plus formidable adversaire. Entre ce
grand
péril et cette grande espérance, la vocation de l’Europe se définit c
112
midable adversaire. Entre ce grand péril et cette
grande
espérance, la vocation de l’Europe se définit clairement. Elle est d
113
nfidélités, l’Europe demeure aux yeux du monde le
grand
témoin. La conquête suprême de l’Europe s’appelle la dignité de l’hom
114
ut public, suprême chance de la paix et gage d’un
grand
avenir pour cette génération et celles qui la suivront. L’ovation qu
115
tative du Conseil de l’Europe. Sur les marches du
grand
escalier de l’université qui conduit à la salle où se tient l’assembl
116
brandissant le drapeau du Mouvement européen : un
grand
E vert sur fond blanc. Après quelques jours de prises de contact avec
117
ue cette Assemblée soit élue. 3. L’année de la
grande
contestation La deuxième année du Conseil de l’Europe, 1950, donna
118
s […]. Vous allez me parler, je le sais bien, des
grandes
difficultés accumulées sur votre route vers l’unité. Elles sont connu
119
présenter ici. Si une nouvelle fois, mais en plus
grand
nombre, nous avons forcé les frontières, et si nous sommes ici devant
120
is aujourd’hui par l’indifférence et le doute une
grande
espérance ; vous déchaînerez la marée d’enthousiasme qui balaiera dev
121
l’Europe — celles-là mêmes qui avaient motivé la
grande
protestation de l’année cinquante. On vit paraître sur la scène conti
122
de présider) avaient été chargés d’introduire les
grands
thèmes historiques, religieux, philosophiques et politiques au sens p
123
Wiles ; et un groupe sciences, avec notamment le
grand
physicien nucléaire Lew Kowarski, l’un des trois « inventeurs » de la
124
je veux parler de l’existence simultanée de deux
grandes
organisations à vocation européenne, sans liens d’aucune espèce hors
125
n pas de la puissance orgueilleuse d’un Troisième
Grand
, mais bien des libertés concrètes des citoyens, et donc de leurs resp
126
des cantons ! (note D. de R.) 94. Encore que le
grand
public n’y vît que du feu, les séances de l’Assemblée ad hoc se tenan
127
ministres des Six passant inaperçus au regard du
grand
enjeu constitutionnel. 95. Chatto and Windus, London, 1957. Rougemon
128
opéennes. Je compte me retirer maintenant, vu mon
grand
âge, du Centre européen de la culture que j’ai créé en 1948 et inaugu
129
r, un programme très ambitieux, européen, de plus
grande
extension que le seul Centre de Genève, grâce à des appuis que je com
130
Je voudrais, avant de partir, mettre sur pied un
grand
programme de culture pour l’Europe. La culture au service de la const
131
iatement valu la notoriété. Ce fut une période de
grande
créativité. À Paris, j’ai découvert toutes sortes d’écoles de pensée
132
nds. J’ai découvert Kierkegaard, devenu un de mes
grands
maîtres, qui était aussi théologien ; alors j’ai commencé à m’intéres
133
conde que cela produirait un déchaînement dans le
grand
état-major et chez le général. J’ai été mis aux arrêts immédiatement
134
us possible de milliards, j’ai vu commencer là la
grande
crise du monde moderne qui peut le conduire à son anéantissement. Car
135
faite pour l’homme, et non le contraire. Les deux
grandes
finalités que l’on doit rechercher en faisant une société, ce n’est p
136
comme je l’ai dit, et l’amour. L’amour est un des
grands
thèmes de Denis de Rougemont. Au plus profond de l’homme, c’est le se
137
çu une lettre de l’éditeur me disant : « J’ai une
grande
requête à vous faire : pourriez-vous céder votre tour de deux mois, c
138
utés. Nous ne sommes pas faits pour vivre dans de
grands
États-nations centralisés, sous la direction de l’État et de ses fonc
139
inston Churchill. À côté de lui, Robert Schumanz,
grande
figure du Mouvement européen, et de nombreuses personnalités de premi
140
eur d’idées neuves, d’activités concrètes dans la
grande
perspective d’une fédération européenne. Ce fut là le premier résulta
141
de l’endroit où j’habite. Je suis entouré par un
grand
anneau que le CERN construit maintenant, qui a 27 km de long. Cela s’
142
différentes les unes des autres, d’historiens, de
grands
festivals de musique européens, qui existent aujourd’hui encore. L’As
143
artir du xixe siècle des Russes aussi avec leurs
grands
romanciers, Tolstoï, Dostoïevski, et leurs grands musiciens. Il y a
144
grands romanciers, Tolstoï, Dostoïevski, et leurs
grands
musiciens. Il y a toute une évolution qui est commune à l’ensemble d
145
s me dire que l’Europe est écrasée entre les deux
Grands
. Elle se sent écrasée parce qu’elle n’est pas unie. Donc la première
146
i viennent après, y sont subordonnées. Il y a le
grand
problème de l’écologie. Il faut éviter que la préparation à la guerre
147
page je crois, en une seule phrase : il y a deux
grandes
finalités qui se partagent l’humanité et qui fonctionnent dans tout h
148
e n’ai rien à ajouter là-dessus. J’ai formulé les
grands
buts que doivent se fixer à peu près en même temps, simultanément, le