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r qu’il accepte toute la mythologie moderne des «
impératifs
» technologiques, des « nécessités » économiques, et des « exigences
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ression qui définit une politique, traduisant des
impératifs
écologiques. Cela ne signifie pas que notre colloquej doive rester sa
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u’imposent à la majorité de nos contemporains les
impératifs
prétendus de la croissance de production, et de l’aide aux « sous-dév
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le, qui imposerait à la politique ses prétendus «
impératifs
catégoriques » avec les succès que l’on sait : inflation et chômage e
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ubstance et toute vertu novatrice ou positivement
impérative
. Elle n’est plus qu’une prétention que l’on invoque à titre de tabou,