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erve qu’historiquement, c’est au mythe du Progrès
inévitable
que ne tardera pas à répondre le mythe du Déclin final de l’Occident.
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s langues, dites « principales », deviendra alors
inévitable
. Que l’anglais, le français et l’allemand s’imposeront alors, qui po
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ularisation, non seulement tentante, mais presque
inévitable
. Thomas More, en somme, n’a fait que placer dans le temps de l’Histoi
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ais qui a éprouvé sur place la force actuellement
inévitable
des nationalismes ». À cette « nécessité » la France doit opposer sa
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ompte. Le processus qu’on vient de décrire paraît
inévitable
, irréversible. Mais nous voyons que l’État-nation, qui en est le mote
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aute et préviendrait ainsi la calamité (sans cela
inévitable
) de notre anéantissement dans un conflit fatal. (p. 349-350) Puis, f