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nnes ». En revanche, en 1960, M. Alain Peyrefitte
juge
cette initiative « prématurée et dangereuse ». En 1961, il déclare à
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comprendre le sens des trop rares ouvrages qu’il
juge
opportun d’attaquer. Car plutôt qu’à des livres connus et encore acce
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e à l’échelle mondiale, et trop grands si l’on en
juge
à leur incapacité d’animer leurs régions, et d’offrir à leurs citoyen