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ion de l’homme personnel, de l’homme sujet de son
langage
et de sa pensée, donc de son action et de son destin, et finalement :
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rsaire politique, idéologique, militaire, dont le
langage
ou la stratégie nous déconcertent par quelque excès, abus, ou délire
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ide aux « sous-développés » ? 4. Possibilité d’un
langage
universel, basé sur la cybernétique et sur la sémiologie de Saussure.
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de diverses branches du savoir. Limites d’un tel
langage
, et comment y suppléer par les arts. 5. Européologie. Il existe dans
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ou d’hommes qui méditaient sur la nécessité d’un
langage
commun aux sciences exactes, aux arts et à la théologie, ainsi Descar
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eterre, où l’on use aussi du normand et des vieux
langages
celtes : bas allemand, moyen et haut allemand autour desquels se réal
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cable. Il nous faut trouver, en effet, d’abord un
langage
commun, sinon cela ne servira absolument à rien. Chercher ce qui nous
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ne de la culture, qui est d’abord une question de
langage
. Et ceci nous a amenés, durant la deuxième journée, à une discussion
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ous a donc appris mille choses importantes sur le
langage
propre aux congrès, et ensuite, M. Georges Nivat nous a montré, par u
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tenu dans toute la fraîcheur et la spontanéité du
langage
parlé. C’est dans la maison de Denis de Rougemont à Saint-Genis-Pouil