1 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
1 lophones, ou bien, en tout cas, éloignés du monde latin . Même la présidence de la Commission par un anglais n’apporte pas de
2 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
2 équences politiques dans un gros ouvrage écrit en latin , mais qui porte ce titre français : Traité d’alliance et confédératio
3 n sera négligée : il ne peut commencer des études latines qu’à 16 ans. Il va étudier la théologie en Allemagne, revient en Bohê
4 na, écrite en tchèque et traduite par l’auteur en latin , a été traduite depuis un siècle en français, en anglais, en espagnol
3 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
5 ne, Nación, die Nation, the Nation, etc. vient du latin natio (de nascor, naître) qui désigne d’abord l’espèce animale, puis
6 s où l’enseignement et les discussions se font en latin , les communautés d’étudiants étrangers regroupés tout naturellement s
7 xiie siècle, une double évolution se dessine. Le latin , tant parlé qu’écrit, devient de plus en plus la langue savante de l’
8 tion germanique. La lutte entre partisans du pape latin ou de l’empereur germanique (les guelfes et les gibelins) remplira le
9 orée, du Vietnam, du Proche-Orient, de l’Amérique latine … (On a compté 135 « guerres limitées » de 1945 à 1983). L’État-nation
4 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Conclusions (été-automne 1984)
10 le dire d’habitude. Tout le monde, dans les pays latins surtout, a été enthousiasmé par la définition de Paul Valéry : est ab
5 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
11 le mot l’indique, a pour étymologie « pati », en latin , qui veut dire subir, souffrir. L’amour-passion, glorifié par la litt