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lophones, ou bien, en tout cas, éloignés du monde
latin
. Même la présidence de la Commission par un anglais n’apporte pas de
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équences politiques dans un gros ouvrage écrit en
latin
, mais qui porte ce titre français : Traité d’alliance et confédératio
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n sera négligée : il ne peut commencer des études
latines
qu’à 16 ans. Il va étudier la théologie en Allemagne, revient en Bohê
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na, écrite en tchèque et traduite par l’auteur en
latin
, a été traduite depuis un siècle en français, en anglais, en espagnol
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ne, Nación, die Nation, the Nation, etc. vient du
latin
natio (de nascor, naître) qui désigne d’abord l’espèce animale, puis
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s où l’enseignement et les discussions se font en
latin
, les communautés d’étudiants étrangers regroupés tout naturellement s
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xiie siècle, une double évolution se dessine. Le
latin
, tant parlé qu’écrit, devient de plus en plus la langue savante de l’
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tion germanique. La lutte entre partisans du pape
latin
ou de l’empereur germanique (les guelfes et les gibelins) remplira le
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orée, du Vietnam, du Proche-Orient, de l’Amérique
latine
… (On a compté 135 « guerres limitées » de 1945 à 1983). L’État-nation
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le dire d’habitude. Tout le monde, dans les pays
latins
surtout, a été enthousiasmé par la définition de Paul Valéry : est ab
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le mot l’indique, a pour étymologie « pati », en
latin
, qui veut dire subir, souffrir. L’amour-passion, glorifié par la litt