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ent, mais qui ne laissent pas le sens critique du
lecteur
s’endormir une seconde ; soit par la surprise de citations souvent st
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sentielle à l’avenir de la France. » (p. 53) Nos
lecteurs
savent assez à quel point, pour les fédéralistes européens, participa
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politiques et une idéologie périmée. » Ce que le
lecteur
peut vérifier, c’est que « le texte dit exactement » tout autre chose
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iées entre 1932 et la guerre. Un nombre infime de
lecteurs
d’aujourd’hui en possèdent encore des collections, et la plupart sont
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mplaisance des médias cela fait un bon million de
lecteurs
et de téléspectateurs qui croiront (s’ils ne m’ont jamais lu) ce qu’é
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choisies, sans exception, de telle manière qu’un
lecteur
d’aujourd’hui ne sachant que très peu ou rien des problèmes et des ho
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ment aux doctrines des fascistes et des nazis. Ce
lecteur
innocent soupçonnera-t-il que l’impayable sérieux de notre jeune lévi
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its et fonctionnaires, et enfin (moralement), les
lecteurs
de journaux réduits au seul Moniteur officiel. Ce système, imposé à l
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mmission, j’eus donc l’honneur d’en être aussi le
lecteur
. En voici le texte : Message aux Européens L’Europe est menacée, l’
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, je n’aurais pas perdu mon temps ni celui de mes
lecteurs
. P.-S. — Je lis dans le numéro de janvier 1985 du Forum du Conseil