1
ent quitter ce combat mauvais, et porter ailleurs
leur
violence. Ou plus exactement encore, si je fais de la politique, c’es
2
ue l’Ordre nouveau, Esprit, Plans, Réactions, par
leur
volonté proclamée de rupture, et plus encore par leurs revendications
3
volonté proclamée de rupture, et plus encore par
leurs
revendications constructives, révèlent peut-être dans leur diversité,
4
ndications constructives, révèlent peut-être dans
leur
diversité, les premières lignes de force d’une nouvelle révolution fr
5
nes de force d’une nouvelle révolution française.
Leur
anticapitalisme n’est pas celui de la Troisième Internationale. Toute
6
e confèrent pas nécessairement quelque héroïsme à
leurs
victimes accidentelles. Ce que je veux dire, c’est que le danger de p
7
veau qu’ils revendiquent. Qu’ils illustrent, dans
leur
structure, visible ou secrète, la dialectique joyeuse de la personne
8
la personne en acte. Que celui qui s’engage dans
leur
lecture éprouve de tout son être la présence d’une réalité éthique im
9
nu slogan se verra récupéré par les partis et par
leurs
intellectuels embrigadés. D’où la colère qui nous prend, à Esprit c
10
naugura le temps des moutons enragés. Fatigués de
leur
innocence, voyant que l’herbe se faisait rare sous leurs pieds et qu’
11
nnocence, voyant que l’herbe se faisait rare sous
leurs
pieds et qu’ils n’avaient plus de berger, aux éclairs de chaleur d’un
12
nt décidé tout récemment de renoncer à l’usage de
leur
pensée devant la menace hitlérienne (voir le manifeste de Ce Soir) on
13
oncière de l’Europe au nom de la seule réalité de
leur
nation ou de je ne sais quelle « mondialité », je notai cette définit
14
il poursuit dans sa recherche du bonheur ». Toute
leur
vie sociale est « fondée sur une base communale ». La justice y est b
15
de plus l’exemple des premiers Confédérés, et de
leur
Suisse d’avant le secret des banques. C’est cette Europe fille des ci
16
ogérées, donc sur la participation des citoyens à
leurs
propres destins. Il ne s’agit plus désormais, de projeter dans l’espa
17
n faire parce que ça se débrouillera et n’est pas
leur
affaire. Ce qui est dangereux, c’est que ça prédispose les Européens
18
devant des forces mythiques qui vont « couvrir »
leur
irresponsabilité, les exonérer de leur éventuelle culpabilité. Car l’
19
couvrir » leur irresponsabilité, les exonérer de
leur
éventuelle culpabilité. Car l’Europe ne se fera pas toute seule, ne s
20
t en lui consacrant de plus en plus de place dans
leurs
colonnes ? Ou plutôt que l’Europe qui intéresse au sens fort les Euro
21
n das noch verstehen ? » — « Les Neuf divisés sur
leur
politique énergétique » — « Conseil européen : l’enlisement » — « Les
22
ngtemps que les États refuseront de rien céder de
leur
souveraineté nationale. S’agirait-il enfin de l’Europe réelle, celle
23
l’Europe réelle, celle des Européens vivants, de
leurs
cultures et de leurs espoirs ? Mais alors comment pourrait-on avec un
24
le des Européens vivants, de leurs cultures et de
leurs
espoirs ? Mais alors comment pourrait-on avec un tel sang-froid, sans
25
uche ou de droite, européistes ou nationalistes ?
Leurs
formules dramatiques reflètent bien moins la réalité vécue de notre c
26
s être au contraire, l’ensemble des Européens, de
leurs
pays, de leurs problèmes, de leurs souvenirs et de leurs espoirs, tel
27
aire, l’ensemble des Européens, de leurs pays, de
leurs
problèmes, de leurs souvenirs et de leurs espoirs, tels que douze siè
28
Européens, de leurs pays, de leurs problèmes, de
leurs
souvenirs et de leurs espoirs, tels que douze siècles d’histoire comm
29
ays, de leurs problèmes, de leurs souvenirs et de
leurs
espoirs, tels que douze siècles d’histoire commune et trois millénair
30
se sont associés à Bruxelles en vue d’harmoniser
leurs
politiques industrielles et commerciales. II. « La grande question
31
aire ! » Michel Debré ne pouvait tout de même pas
leur
révéler que ce titre était celui d’un livre « infâme ». IV. Vertus
32
ent, mais il n’y a pas d’illusions à se faire sur
leur
traduction en décrets, le cas échéant : taxer un livre d’infamie est
33
) à toutes ses nationalités, au mépris déclaré de
leurs
identités. Les héritiers de cette France jacobine ne conçoivent pas q
34
ionalistes à l’endroit des nations opprimées dans
leur
culture comme dans leurs droits et libertés traditionnelles : Bretagn
35
es nations opprimées dans leur culture comme dans
leurs
droits et libertés traditionnelles : Bretagne, Pays basque, Roussillo
36
ionales), celles-là mêmes qui ont uniformisé dans
leur
sein les diversités régio-nationales… La France ayant « défait » (en
37
t, c’est normal, que l’Europe va faire de même de
leur
nation. C’est avouer qu’on n’a rien compris à la nature même du fédér
38
r ce faire, à tous les droits et à l’autonomie de
leur
province qu’ils avaient pour mandat d’affermir. Pareille trahison (po
39
, désignant les « rapports des êtres vivants avec
leur
milieu naturel ». « Écologie » va reparaître après la Deuxième Guerr
40
rnements de nos États nationaux — si lié que soit
leur
sort à celui de la croissance industrielle — se sont vus contraints d
41
t-à-dire finalement la guerre, est un principe de
leurs
développements concomitants, et demeure leur « horizon indépassable »
42
de leurs développements concomitants, et demeure
leur
« horizon indépassable ». La civilisation industrielle, d’essence car
43
e la volonté d’uniformiser les humains, d’écraser
leurs
différences ethniques, culturelles, coutumières, de régler et de cont
44
’État, de l’économie et des activités culturelles
leur
paraît la condition même d’une renaissance civique, économique et cul
45
renaissance civique, économique et culturelle de
leur
pays. À part les guerres d’agression et les centrales nucléaires, qui
46
(neighborhoods) commencent à retrouver le sens de
leur
autonomie, à reprendre en main leurs destins »20. Il est faux que le
47
er le sens de leur autonomie, à reprendre en main
leurs
destins »20. Il est faux que le plus grand soit le plus efficace. E.
48
, invoqué rituellement par les uns et les autres,
leur
donne à tous des raisons d’appeler ou de maudire l’union de l’Europe
49
d’appeler ou de maudire l’union de l’Europe selon
leurs
préférences du moment. I. Les identités nationales On lit dans L
50
n comprend que celles-ci soient moins attachées à
leur
identité que nous ne le sommes. Un sondage publié par la CEE de Brux
51
nations… Les nations sont toujours vivantes, mais
leur
pleine souveraineté est morte ». Bruère était le pseudonyme de résist
52
listes d’aujourd’hui se réclament avec passion de
leur
fidélité à la pensée du Général, c’est bien le sujet des régions et d
53
Debré, ils n’ont cessé de clamer, depuis dix ans,
leur
rejet indigné des régions autonomes, conditions de cette Europe des r
54
es régions, précisait-il, devaient « s’ouvrir » à
leurs
voisines, au-delà des frontières de l’État : le Nord à la Belgique, l
55
ération de régions historiques, qui trouvent dans
leur
union — strictement limitée à certaines fonctions publiques — la gara
56
à certaines fonctions publiques — la garantie de
leur
autonomie. Plus frappante encore est l’évolution récente des trois pa
57
ns voisines, annexées et alignées sans égard pour
leurs
intérêts propres ni pour leurs identités culturelles, coutumières et
58
es sans égard pour leurs intérêts propres ni pour
leurs
identités culturelles, coutumières et linguistiques. En France, le gé
59
Plusieurs de ces régions se posent la question de
leur
taille : elles la voudraient « européenne », c’est-à-dire compétitive
60
ions primaires, autrefois ou naguère annexées, de
leurs
libertés primitives, est devenu l’un des problèmes majeurs du Royaume
61
allant jusqu’à demander le rattachement direct de
leur
région à l’Europe unie, sans passer par le relais londonien. Mais, di
62
ités jouissent d’une autonomie pour la gestion de
leurs
intérêts respectifs ». Enfin, les art. 143 à 158 définissent en détai
63
éclarées, que de renoncer, comme les individus, à
leur
liberté sauvage (anarchique), pour s’accommoder de la contrainte publ
64
isme ne le cède en rien à celui de Hegel ; puis à
leur
suite, Auguste Comte, qui attribue à l’Europe le rôle « d’agent et de
65
raser ? L’effort des groupes personnalistes et de
leurs
camarades européens dans les deux camps, menant une lutte commune et
66
problème intellectuel prioritaire que proposent à
leurs
invités les « Rencontres internationales de Genève » est justement ce
67
, Salis et Spender comme conférenciers ; et parmi
leurs
interlocuteurs désignés, Jeanne Hersch, François Bondy, Merleau-Ponty
68
: 5 ou 6 sur 36 orateurs, je crois bien. Certes,
leurs
thèses principales ont été reprises un peu partout (notamment quelque
69
et n’ont cessé de manifester, depuis trente ans,
leur
vitalité créatrice. Pour composer la commission culturelle, j’ai écri
70
es sont résolument « européennes » à la fois dans
leurs
finalités culturelles et dans leurs pratiques internationales : tradu
71
la fois dans leurs finalités culturelles et dans
leurs
pratiques internationales : traductions, débats à l’échelle continent
72
la liberté de la culture (1950-1966) qui assurait
leur
complète liberté éditoriale. En lieu et place de L’Ordre nouveau , d
73
aide du patriotisme, sans soupçonner à quel point
leur
politique de désunion est fatalement une simple politique d’entracte
74
ont tendu vers ce but unique le travail secret de
leur
âme… Ils ont en commun les mêmes aspirations les plus hautes et les p
75
l’Europe une, qui, sous la véhémente diversité de
leurs
expressions artistiques, fait effort vers autre chose, vers une chose
76
éficient d’une exception de juridiction, assurent
leur
propre police et ne dépendent ni des pouvoirs de la ville ni de ceux
77
e du Roi, mais ne relèvent que du pape, garant de
leur
autonomie. Chacune de ces entités groupe en une seule communauté les
78
édiates à l’empire », lequel devient le garant de
leurs
libertés contre tous les seigneurs voisins. C’est ainsi que les trois
79
ns une autre ville de la région parisienne, quand
leurs
rapports avec les magistrats entrent en crise. Les étudiants se répar
80
ustries. Elles préparent les jeunes gens à gagner
leur
vie, non plus à en comprendre les finalités. IV. Retour aux petite
81
mensions de nos créations, de nos activités et de
leurs
cadres. Les conditions d’une renaissance des universités européennes
82
uropéenne, et la logique ou les contradictions de
leur
développement dans la vie publique et privée de l’unité culturelle en
83
mmun, le mécanisme des organisations européennes,
leur
histoire récente, leur jurisprudence, l’unification de leurs mesures
84
organisations européennes, leur histoire récente,
leur
jurisprudence, l’unification de leurs mesures sociales et la coordina
85
ire récente, leur jurisprudence, l’unification de
leurs
mesures sociales et la coordination de leurs politiques économiques.
86
n de leurs mesures sociales et la coordination de
leurs
politiques économiques. Ce qui nous manque encore, c’est une étude qu
87
s un an, les professeurs détachés reviendraient à
leur
enseignement, porteurs d’une sorte de radioactivité — les uns mûris,
88
rendre les affaires de la cité et d’y faire entre
leur
voix. « Dans l’enceinte des petits États, la liberté peut exister, p
89
re de nos frères de l’Est : car nous sommes aussi
leurs
gardiens ! p. Rougemont Denis de, « L’apport culturel de l’Europe
90
condamnés et emprisonnés pour avoir combattu, par
leurs
écrits et par leur engagement concret, le « socialisme national » d’H
91
nnés pour avoir combattu, par leurs écrits et par
leur
engagement concret, le « socialisme national » d’Hitler, alors qu’il
92
ceux que je connais le mieux, qui sont les miens,
leur
exemple valant pour les autres. De bons amis m’ont conseillé le silen
93
, qui ne sont plus là pour rétablir la vérité sur
leur
œuvre et sur leur combat. Afin que ces amis ne soient plus impunément
94
là pour rétablir la vérité sur leur œuvre et sur
leur
combat. Afin que ces amis ne soient plus impunément « livrés au capri
95
une n’est honnête : la plupart signifiaient dans
leur
contexte tout à fait autre chose ou le contraire de ce qu’il veut y l
96
devant des “parlementaires ventrus” engoncés dans
leurs
“faux cols”, leurs “rosettes” et leurs “chapeaux melons”1) ». La note
97
ntaires ventrus” engoncés dans leurs “faux cols”,
leurs
“rosettes” et leurs “chapeaux melons”1) ». La note1) renvoie à un art
98
oncés dans leurs “faux cols”, leurs “rosettes” et
leurs
“chapeaux melons”1) ». La note1) renvoie à un article de moi publié p
99
mots, mais est-ce possible ? « “Engoncés” » dans
leurs
rosettes et leurs chapeaux melons… Cela ne peut pas être de moi, tout
100
possible ? « “Engoncés” » dans leurs rosettes et
leurs
chapeaux melons… Cela ne peut pas être de moi, tout de même — qu’ai-j
101
é paralysées après guerre par le double cadre que
leur
offrait l’héritage du passé : celui de l’Action française où on lutta
102
s : Si nous condamnons ces religions, c’est dans
leur
terme, au nom d’un acte de foi contraire. Elles veulent la force et n
103
ctuels ! Sa rage d’assimiler les personnalistes à
leurs
adversaires de toujours, et de déceler dans leurs critiques et leurs
104
leurs adversaires de toujours, et de déceler dans
leurs
critiques et leurs refus autant de preuves de leur fascination par le
105
e toujours, et de déceler dans leurs critiques et
leurs
refus autant de preuves de leur fascination par les nazis, est-elle r
106
urs critiques et leurs refus autant de preuves de
leur
fascination par les nazis, est-elle révélatrice de ses propres comple
107
? C’étaient les thèmes majeurs de nos revues. En
leur
nom, nous ne cessions de dénoncer le stato-nationalisme des « puissan
108
taire laïcard comme Pétain ont-ils vraiment puisé
leur
inspiration politique (Montoire et la collaboration, le Vel’ d’Hiv’ e
109
hent, se répondent. Là, ceux de droite, tenus par
leurs
sombres thuriféraires, bien connus, les Drieu, de Rougemont et autres
110
s coups de pouce multipliés, vers le contraire de
leur
sens primitif. (C’est le coup bien connu du domestique voleur, en Chi
111
ais le jour où ils auront eux aussi conscience de
leur
volonté de vivre ». Plus téméraire encore, dans l’optimisme (Lévy dir
112
us discutables que les nôtres — surtout isolés de
leur
contexte, selon sa méthode habituelle. Et sur la présence de Maurice
113
eunes se montreront réellement capables de servir
leur
pays. […] Nous luttons tous, en effet, pour une cause commune ! Un a
114
relâchement des liens actuels de la société, dans
leur
quasi-inexistence, en raison du développement de l’individualisme bou
115
ants étrangers regroupés tout naturellement selon
leur
langue ou leur naissance : leur natio. À Bologne, en 1158, une consti
116
regroupés tout naturellement selon leur langue ou
leur
naissance : leur natio. À Bologne, en 1158, une constitution donnée p
117
turellement selon leur langue ou leur naissance :
leur
natio. À Bologne, en 1158, une constitution donnée par l’empereur Fré
118
ombre, connaissent une multiplication par cent de
leur
puissance de feu et surtout changent radicalement de méthode et de te
119
e » (p. 60 de op. cit.). À cela ne se bornent pas
leurs
bienfaits : « Dialectes et genres de vie fort divers viennent aussi [
120
uple n’en célèbre que mieux les nations — qui est
leur
dénomination lyrique (« en vers : de trois syllabes » précise Littré)
121
hent par la guerre au-dehors la tranquillité [qui
leur
manque] au-dedans. » (Philosophie des Rechtes, 1808, § 324). « Ce qui
122
ociale et à l’intérêt général de la Nation. Voici
leur
enchaînement depuis un siècle et demi : a) L’État-nation est lié à la
123
à la guerre que les États-nations appellent, par
leur
formule même, et souvent consciemment. Dans un premier temps, le pote
124
assure le pouvoir des deux grands, à la fois sur
leurs
propres peuples, sur les États désunis de l’Europe, et sur l’anarchie
125
le mondiale, — trop grands pour animer réellement
leurs
régions et pour résoudre les problèmes spécifiques qui s’y posent. L’
126
ces États-nations unitaires tels qu’ils sont dans
leur
être et leur agir concret, non plus dans leurs seules prétentions. No
127
ions unitaires tels qu’ils sont dans leur être et
leur
agir concret, non plus dans leurs seules prétentions. Nous verrons au
128
ans leur être et leur agir concret, non plus dans
leurs
seules prétentions. Nous verrons aussitôt que tous, sans exception, s
129
chelle mondiale, et trop grands si l’on en juge à
leur
incapacité d’animer leurs régions, et d’offrir à leurs citoyens une p
130
grands si l’on en juge à leur incapacité d’animer
leurs
régions, et d’offrir à leurs citoyens une participation réelle à la v
131
incapacité d’animer leurs régions, et d’offrir à
leurs
citoyens une participation réelle à la vie politique qu’ils prétenden
132
États-nations souverains qui, pour mieux affirmer
leur
souveraineté, refusent de se fédérer à l’Ouest, ou qui, n’ayant qu’un
133
ssurer et qui représentent sa raison d’être. Dans
leur
état actuel de division, nos « souverainetés » ne peuvent en effet :
134
gmenter l’inflation ; — ni maintenir la valeur de
leur
monnaie ; — ni faire face à leurs besoins allégués en énergie sans me
135
nir la valeur de leur monnaie ; — ni faire face à
leurs
besoins allégués en énergie sans menacer l’environnement et s’opposer
136
type fédéral, nos États-nations, retranchés dans
leurs
souverainetés nationales, ne pourront échapper au cours des prochaine
137
nucléaires poussent l’audace jusqu’à l’invoquer à
leur
tour : les juristes des Pays-Bas « prétendent qu’un accueil de missil
138
’État » contemporains, c’est qu’ils affirment que
leur
but n’en est pas moins l’union de l’Europe : ils nous répètent comme
139
ropes ; — un mariage qui garantisse aux conjoints
leurs
droits de célibataires ; — une mise en commun des chacuns pour soi.79
140
es importants des dix pays de la CEE renouvellent
leurs
serments sur tous les postes : ils n’ont rien accompli, l’Idole en so
141
à de tout soupçon de fédéralisme clandestin. Mais
leur
temps va passer inexorablement, et les crises mêmes qu’ils gèrent cha
142
nations… Les nations sont toujours vivantes mais
leur
pleine souveraineté est morte. » Jacquier était le pseudonyme de Rési
143
u la droite étaient plus ou moins cohérentes avec
leur
image de combat, et laquelle allait, le 17 juin, « passer la barre de
144
es fonds nécessaires pour présenter régulièrement
leurs
candidats à l’élection du 17 juin. Mais ce que l’on voit se définir a
145
ec la plus grande netteté, c’est la communauté de
leurs
vues sur l’Europe et même l’identité de leurs propositions ; c’est le
146
de leurs vues sur l’Europe et même l’identité de
leurs
propositions ; c’est leur opposition, déclarée dans les mêmes termes,
147
et même l’identité de leurs propositions ; c’est
leur
opposition, déclarée dans les mêmes termes, aux partis classiques et
148
dans les mêmes termes, aux partis classiques et à
leurs
discours partisans, nationalistes, politiciens, donc pratiquement ant
149
éens ; et c’est enfin la convergence frappante de
leurs
propositions pour l’union de l’Europe, et cela qu’ils se disent de ga
150
fous de l’Europe de la liberté » et appellent de
leurs
vœux la naissance du « citoyen européen » (qui, reconnaissent-ils, su
151
dimension régionale ». Ils expriment l’espoir que
leur
génération « au sein de laquelle l’idée européenne ne se heurte pas t
152
triche). Les verts européens viennent de publier
leur
programme commun : nous en donnons ici les titres de chapitres. Vers
153
des mouvements qui comptent déjà des députés dans
leur
parlement national. Ils sont très fortement minoritaires dans leur pa
154
tional. Ils sont très fortement minoritaires dans
leur
pays, mais ils sont unanimes dans leurs propositions européennes, et
155
aires dans leur pays, mais ils sont unanimes dans
leurs
propositions européennes, et ceci corrigera cela, si les partis class
156
vouloir pour l’Europe, mais seulement à combattre
leurs
rivaux nationaux. III. Quelques déclarations remarquables sur l’Eu
157
ns ne peuvent comprendre que les États membres et
leurs
représentants, après s’être arrogé, au mépris des traités qui les lie
158
enus non sans peine à ce qu’ils considèrent comme
leur
« souveraineté absolue ». Seule une reine incontestable a su, en cett
159
langues de bois diverses des gouvernements et de
leurs
experts, celles de certaines littératures, pas toutes, mais enfin il
160
aux littératures de l’Ouest, dans ce siècle, dans
leurs
rapports avec le pouvoir et avec les oppositions ? On verrait peut-êt
161
sure où ce seront des personnes qui intégreront à
leur
manière, selon leur vocation unique, sans précédent, tout ce qui leur
162
s personnes qui intégreront à leur manière, selon
leur
vocation unique, sans précédent, tout ce qui leur est venu de partout
163
leur vocation unique, sans précédent, tout ce qui
leur
est venu de partout — les objets de leur piraterie ! Je propose donc
164
t ce qui leur est venu de partout — les objets de
leur
piraterie ! Je propose donc cette seconde conclusion : la culture eur
165
it clairement. Elle est d’unir ses peuples selon
leur
vrai génie, qui est celui de la diversité, et dans les conditions du
166
u à quatre manifestations, très diverses tant par
leur
nature que par leur importance politique, mais dont la convergence m’
167
tions, très diverses tant par leur nature que par
leur
importance politique, mais dont la convergence m’apparaît aujourd’hui
168
res aux députés européens et de la réception qui
leur
fut réservée par l’Assemblée ; d’un projet de nouveau Serment de Stra
169
tres aux députés européens , et j’avais obtenu de
leur
éditeur86 qu’il aille lui-même en placer une copie sur chaque pupitre
170
ligé d’écouter. Tous les sondages précis réfutent
leurs
craintes, démasquent leurs arrière-pensées, dénoncent leur parti pris
171
ndages précis réfutent leurs craintes, démasquent
leurs
arrière-pensées, dénoncent leur parti pris de scepticisme […]. Messie
172
ntes, démasquent leurs arrière-pensées, dénoncent
leur
parti pris de scepticisme […]. Messieurs les députés, vous le savez b
173
ctorale organisée par les États, en vue de nommer
leurs
députés au premier Parlement de l’Europe. Les partis présenteront leu
174
er Parlement de l’Europe. Les partis présenteront
leurs
candidats. Et les mouvements fédéralistes aussi. Et les groupes d’int
175
tir aux peuples qu’elle comporte un enjeu, et que
leur
sort peut changer, matériellement aussi, selon l’issue des élections.
176
l faut que les délégués à Strasbourg rompent avec
leur
ordre du jour et avec leur statut, qu’ils renouvellent le Serment du
177
trasbourg rompent avec leur ordre du jour et avec
leur
statut, qu’ils renouvellent le Serment du Jeu de Paume, qu’ils jurent
178
de « simplifier les formalités douanières » entre
leurs
deux pays, membres de la CEE… Mais surtout, ce que je retiens de cett
179
es 22 cantons qui la composent : en « associant »
leurs
souverainetés sans en aucune façon les « abandonner », ils ont donné
180
ps il s’en allait. Pour tous ceux qui avaient mis
leur
espoir dans l’avenir du Conseil de l’Europe, il y avait là un très sé
181
c’est surtout dans deux autres domaines qui, par
leur
nature même et par ma profession, me requièrent plus personnellement
182
t et des 8 pays de l’Est, non moins européens par
leurs
traditions culturelles, et plus européens encore par les espoirs qu’i
183
les activités économiques qu’elle met en œuvre à
leur
service. La plus remarquable réalisation du Conseil de l’Europe dans
184
commissions nationales aussi « souveraines » que
leurs
fonctionnaires sont anonymes — la Conférence des ministres de la Cult
185
culturels susceptibles d’être pris en compte dans
leur
politique en tous domaines et de contribuer ainsi à une prise de cons
186
er, sur la base de ce projet, selon les voies qui
leur
sembleront les mieux appropriées, à une consultation des instances go
187
anvier 1984, et présentèrent à la ratification de
leurs
ministres réunis à Berlin en mai de cette année. Que dit ce document
188
ais aussi les citoyennes et citoyens à concentrer
leurs
efforts pour : — développer le patrimoine et la création97 — développ
189
sont à peu près indéfendables, non seulement dans
leur
forme, mais dans leur couleur. Je me borne à citer ici le deuxième :
190
ndables, non seulement dans leur forme, mais dans
leur
couleur. Je me borne à citer ici le deuxième : « Considérant que les
191
ulaire d’humanisme laïque et religieux, source de
leur
attachement inaliénable à la liberté et aux droits de l’homme… »99 E
192
solue, mais au contraire des besoins humains dans
leur
réalité la plus immédiate — à l’échelle de la commune — ces besoins m
193
nt pris l’habitude du sur-place ; qu’ils ont pris
leur
parti d’avoir passé un tiers de siècle à ne plus avancer, à parler de
194
onstamment susceptibles de tout bloquer au nom de
leur
« souveraineté » sacrée, quoique de moins en moins vérifiable. Point
195
ne ni l’autre des deux organisations parallèles —
leur
point de rencontre à l’infini — ne saurait prétendre à conduire une p
196
n des libertés concrètes des citoyens, et donc de
leurs
responsabilités. Le projet de la Constitution rédigé par Fernand Deho
197
des activités de la nation, privant les hommes de
leurs
responsabilités en leur donnant le sentiment qu’ils ne sont pas respo
198
n, privant les hommes de leurs responsabilités en
leur
donnant le sentiment qu’ils ne sont pas responsables. J’ai commencé à
199
mé, je m’en excuse, mais j’aime à donner aux mots
leur
véritable sens. Dans quelles circonstances avez-vous écrit le livre
200
habitude, par les coutumes, par l’économie aussi.
Leur
développement au cours de l’histoire a malheureusement coupé ces régi
201
Haye fut de mettre ensemble des savants pour que
leurs
recherches soient utilisées au bénéfice de l’Europe unie. Cela a été
202
et à partir du xixe siècle des Russes aussi avec
leurs
grands romanciers, Tolstoï, Dostoïevski, et leurs grands musiciens.
203
leurs grands romanciers, Tolstoï, Dostoïevski, et
leurs
grands musiciens. Il y a toute une évolution qui est commune à l’ens
204
re, sans mesurer les conséquences à long terme de
leurs
activités. C’est une des folies pures de la société contemporaine : o
205
tomiques l’un sur l’autre. Cela arrange très bien
leur
économie de faire des dépenses fantastiques d’armement, cela leur per
206
faire des dépenses fantastiques d’armement, cela
leur
permet de dominer le tiers-monde. Ils s’entendent, je crois, dans le
207
t, et c’est l’Europe qui risque d’être victime de
leur
politique. L’Europe, on l’a souvent dit, risque d’être leur otage ou
208
ique. L’Europe, on l’a souvent dit, risque d’être
leur
otage ou leur champ de bataille. Ce ne serait pas le cas si l’Europe
209
, on l’a souvent dit, risque d’être leur otage ou
leur
champ de bataille. Ce ne serait pas le cas si l’Europe était unie, c’
210
l faut donner aux hommes d’aujourd’hui l’idée que
leur
sort dépend d’eux. Il faut dire aux hommes : « Vous devez choisir mai