1
ts de la grandeur par la liberté et l’autogestion
locale
. (Tout cela dans le Contrat social et dans le Gouvernement de la Polo
2
agression stato-nationale contre les communautés
locales
ou ethniques. La réaction contre l’agression industrielle s’appelle É
3
ieux, sur une petite échelle, dans les autonomies
locales
. « Coopératives d’habitation, énergie solaire, petites entreprises, c
4
eprises, compost, alimentation au détail, banques
locales
, les communes (neighborhoods) commencent à retrouver le sens de leur
5
té normale et nécessaire des coutumes et des lois
locales
. Or, cette paix que seule procure l’unité essentielle dans la diversi
6
est de détruire le tissu vivant des attachements
locaux
— patriotiques au sens premier — des réalités régionales et des liber
7
de langues vulgaires, cependant que les dialectes
locaux
tendent à se constituer en langues régionales. Par-delà les dialectes
8
: le dépérissement ou la suppression des pouvoirs
locaux
et de la vie civique des provinces, obtenus par la division du pays e
9
ondiales, et trop grands pour régler les affaires
locales
. » Dans ma Lettre ouverte aux Européens (1970), je retrouvais et dé
10
r l’analogie entre le problème de la souveraineté
locale
dans le monde hellénique et le problème correspondant dans le nôtre,
11
tion internationale qui amènerait la souveraineté
locale
sous la discipline d’une loi plus haute et préviendrait ainsi la cala
12
E qui anime la Conférence permanente des pouvoirs
locaux
et régionaux est à peu près l’inverse du précédent. Ici, l’on est par
13
au titre de la Conférence permanente des pouvoirs
locaux
: c’était enregistrer symboliquement les progrès accomplis dans toute
14
finissant. Une troisième Conférence des pouvoirs
locaux
et régionaux va se tenir en octobre à Borken (RFA) et permettra de fa