1 que l’intellectuel d’aujourd’hui ait préservé en lui un pouvoir de colère, et par ailleurs le besoin de penser, il se voit

2 ions, mais les États bourgeois n’ont plus guère à lui envier qu’un degré supérieur de logique dans l’application du système

3 pour accomplir les devoirs du clerc engagé malgré lui dans le désordre de l’époque. […] Voici notre désordre. On ne peut pl

4 t outre à son dégoût, accepte le combat tel qu’il lui est offert, elle court le risque de s’y dégrader. J’ai préféré ce ris

5 que la pensée est libre au sens idéaliste, qu’on lui donne vacance, ou qu’elle n’a plus de condition concrète. La pensée q

6 is aux intermittences de la foi que l’ironie chez lui jaillit au point précis où soudain la joie cesse de soutenir son gran

7 manifestes. Ils ont signé pour le négus et contre lui  ; pour le chef bien-aimé, Père des peuples, et pour ses innocentes vi

8 d’au moins tripler ce mince volume, et surtout de lui donner des suites non plus seulement descriptives mais normatives, pr

9 e, elle doit bien mieux résoudre l’énigme qu’elle lui a posée et qu’elle ne cesse de se poser à elle-même. » Le monde, en e

10 du xviiie siècle : de Descartes. Car c’est bien lui qui a fait de l’homme un « doublet » de chair et d’esprit. Il a si bi

11 nées la plupart des journaux de nos pays, tout en lui consacrant de plus en plus de place dans leurs colonnes ? Ou plutôt q

12 es de sept lieues ! »12 Il s’agissait alors, pour lui gaulliste, d’une Europe des États, c’est vrai, mais cependant dotée d

13 croit Michel Debré. La réponse est gênante. Pour lui . La France des jacobins et de Napoléon est en effet le seul pays d’Eu

14 ppement du cancer, le souci écologique correspond lui à la création d’anticorps contre les maladies de civilisation (physiq

15 ’un citoyen de s’y faire entendre et qu’on puisse lui répondre. 6. Il s’agit donc, si l’on veut arriver à des solutions éc

16 fait jadis la force de la Nation, devaient selon lui succéder les régions, nouvelle formule de la prospérité nationale. Et

17 amants de se quitter une fois de plus. Mais c’est lui qui a tout machiné, en posant le problème du Sénat…) Selon mon interp

18 Ceci enfin qui résume tout : à M. P. Messmer venu lui rendre visite le 16 juillet 1969 il redit que « partir sur le refus d

19 elle de civilisation, et qu’elle doit au monde de lui montrer un autre modèle de civilisation que celui de la croissance in

20 ui délimitent le continent par ses ports. Pie II, lui , décrira l’intérieur du continent. 33. « Marché commun » est déjà pr

21 spèrent pas encore de la race humaine, et veulent lui conserver l’empire de la pensée.47 Cette société des hommes de la p

22 accompli, tous les hommes qui ont un cœur et qui lui obéissent doivent se respecter mutuellement.51 Nous voici renvoyés

23 cette réunion, dis-je, s’appelle une nation, tout lui serait permis pour se faire du bien ? Le mot de nation serait alors s

24 ines de charbon en Autriche voisine, et ce Marini lui a beaucoup parlé du Plan d’union des royaumes chrétiens que le França

25 Il hésite un temps à accepter une invitation que lui adresse Richelieu à venir fonder en France un Collège pansophique (« 

26 es Allemands et surtout les Russes. Liberté, pour lui , signifie liberté des peuples. Mais il y a toujours dans le mot de Li

27 e Lévy n’a pas lu le contexte des citations qu’on lui aura fournies. Quel dommage qu’un jeune homme aussi passionnément mot

28 estre rouge. Les nazis l’ont décapité à la hache, lui et sa femme, pendant la guerre65. Je citerai quelques phrases de sa «

29 montra les cicatrices des tortures que les nazis lui avaient infligées. Aviateur, il occupa un poste-clé dans l’état-major

30 ans un dialogue avec un SA qui suit mes cours, je lui reproche « cette manie de porter des bottes sans aller à cheval, ces

31 tait le grand dessein de Napoléon, mais qui après lui avait soulevé tant de résistances dans les élites traditionnelles et

32 la guerre et progressant par elle, comme elle par lui , conduit nécessairement à de nouveaux conflits qu’il prépare sous le

33 on d’une décision prise hors de l’Homme et contre lui , par la mégamachine — qu’il a conçue. On sait — ou l’on devrait avoir

34 que de l’État-nation — terme d’ailleurs lancé par lui — dans la proposition aujourd’hui bien connue : « Trop petit et trop

35 l’État ne connaît d’autres limites que celles que lui imposent dans le fait la pluralité des États et l’absurde égoïsme des

36 Mr. Kinnock, pour le Parti travailliste, a exigé, lui , « le rapatriement » des pouvoirs « ravis au Parlement britannique pa

37 (M. Craxi a d’ailleurs refusé la démission qu’ils lui offraient.) 4. Le cas de la RFA Là encore, un problème « natio

38 erpuissance, sauf la volonté. » L’un des Français lui dit : — C’est dur ! Elle, souriant : — Non, c’est vrai. Le président

39 parole pour dire que les propos de Georges Nivat lui avaient suggéré d’appliquer à l’Ouest la même analyse que Nivat venai

40 lus que j’avais eu la même idée en même temps que lui , sans que nous ayons eu le moindre échange. Je l’avais notée, et je v

41 os pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose l’économie moderne. À défaut d’une union librement consentie, no

42 tudes pour un centre européen de la culture » né, lui aussi, du congrès de La Haye et dont je suis le directeur désigné, no

43 verbiale, mais votre Assemblée est trop jeune. Je lui propose quelques slogans nouveaux et quelques amendements à la sagess

44 qu’il appelle la Marche sur Strasbourg, idée qui lui est venue et que nous discutons en déjeunant avec Brugmans et Silva.

45 Assemblée, doit recevoir le message des jeunes et lui répondre. Voici le discours qu’il entendra : Aux Délégués de l’Assem

46 isons d’édition et écrit les premières œuvres qui lui ont immédiatement valu la notoriété. Ce fut une période de grande cré

47 t un « fellowship » de la Fondation Bollingen qui lui permet d’écrire. Bien entendu, à New York, je pensais sans cesse à c

48 maladies de l’Europe, de la mauvaise mine que je lui trouvais en rentrant après cinq ans d’Amérique. Sans que je m’en dout

49 en 1948, présidé par Winston Churchill. À côté de lui , Robert Schumanz, grande figure du Mouvement européen, et de nombreus

50 me. Un livre souvent incompris, qui a provoqué en lui un sentiment de solitude et d’amertume. Il nous dit : « Toute action

51 ’occupent de choses comme la culture. Eh bien, on lui attribue cette phrase, je ne sais pas s’il l’a écrite, mais elle a ét