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ins de nos pays (à l’exception de quelques cas de
nationalisme
flamboyant comme Kipling, Barrès et d’Annunzio) écrivent tous sur l’E
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sités à sauvegarder et la fascination mortelle de
nationalismes
stupidement vaniteux, mais non moins suicidaires. Qu’il suffise de ci
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vé sur place la force actuellement inévitable des
nationalismes
». À cette « nécessité » la France doit opposer sa mission spécifique
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evient ici plus lisible qu’ailleurs, parce que le
nationalisme
y chante à livre ouvert ses thèmes sacrés, l’absolu de sa primauté su
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que le discours politicien est un hommage que les
nationalismes
les plus obtus rendent à l’idéal européen.) En Italie, tout comme en
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e, d’une Europe qu’il fallait fédérer au-delà des
nationalismes
. Nous avons forgé ce terme d’État-nation qui est utilisé maintenant u