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éritable anti-Europe ne serait-elle pas celle des
nationalistes
de droite et de gauche qui dénoncent comme utopie ou idylle naïve les
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ou contre, de gauche ou de droite, européistes ou
nationalistes
? Leurs formules dramatiques reflètent bien moins la réalité vécue de
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nfâme ». IV. Vertus et vices selon la religion
nationaliste
L’adjectif m’a d’abord fait penser au mot de Talleyrand : « tout
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t refoulée des jacobins, des centralisateurs, des
nationalistes
à l’endroit des nations opprimées dans leur culture comme dans leurs
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de ses politiciens, les pires exemples de délire
nationaliste
(gaullistes et communistes à l’envi) et par son peuple, les raisons l
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illustrent — en vain d’ailleurs, car déjà l’État
nationaliste
, par ses écoles, ses casernes et ses journaux est en bon train de con
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alistes, sa vocation universaliste et ses délires
nationalistes
; et surtout, sur l’Europe comme patrie des hommes libres et du refus
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: « Grâce aux divisions morbides que la folie des
nationalistes
a mises et met encore entre les peuples de l’Europe, grâce aux politi
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opposé à tout abandon de souveraineté, c’est être
nationaliste
, alors oui, je suis nationaliste ». G. Marchais, 7 juin 1979. Je pour
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neté, c’est être nationaliste, alors oui, je suis
nationaliste
». G. Marchais, 7 juin 1979. Je pourrais reproduire ici des dizaines
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partis classiques et à leurs discours partisans,
nationalistes
, politiciens, donc pratiquement antieuropéens ; et c’est enfin la con
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ions ? On verrait peut-être que la langue de bois
nationaliste
, de classe, bourgeoise dans notre cas, a provoqué des réactions litté
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de petits Suisses, de petits Allemands, de petits
nationalistes
, mais des Européens qui sachent que nous avons des valeurs communes q