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du pouvoir, du ça qui va sans dire parce qu’il n’
osera
jamais s’avouer et qu’il compte sur notre lâcheté pour l’en dispenser
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uis j’essaierai de comprendre les raisons — si on
ose
dire — de la défection générale dont nous sommes aujourd’hui les témo
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s ! Reconnais ton peuple ! Alors que d’autres n’
osent
même pas verser des larmes Nous les Magyars, nous versons notre san
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crois que je n’étais pas le seul. Sans cela, je n’
oserais
pas le dire. Cela a été extrêmement utile pour nous tous. J’ai appris
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ial des régions transfrontalières (on n’avait pas
osé
le dire franchement, pudeur stato-nationaliste oblige) du type de la
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r aux souverainetés subsistantes des membres. Qui
oserait
, aujourd’hui, refuser cela ? Si le présent article n’avait d’autre ut