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ie évangélique et paulinienne a été la première à
parler
de la « mort de l’homme ». Paul revient sans cesse sur la nécessité p
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les « hommes nouveaux » de l’utopie dont on nous
parlait
hier, ne sont que des sécularisations à bon marché. Qu’est-ce que le
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x pour l’Europe, destructeur du civisme dont nous
parlait
ce matin Jacques Freymond. Tout ce qui réduit le sens de la responsab
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le Tyran absolu, l’Anonyme. Ce n’est pas vous qui
parlez
ou agissez — nous répètent les structuralistes —, c’est ça qui parle
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nous répètent les structuralistes —, c’est ça qui
parle
ou qui opère en vous. Objectivement, c’est mettre en condition l’homm
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e ces titres pose une question : de quelle Europe
parlent
-ils ? Quelle est l’Europe qui selon eux « agonise » ? Si c’est « L’Eu
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ne les concerne en rien, personnellement. Ils en
parlent
comme on parle de malheurs étrangers, de la mort qui n’arrive qu’aux
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en rien, personnellement. Ils en parlent comme on
parle
de malheurs étrangers, de la mort qui n’arrive qu’aux autres. Mais so
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rits quant à la vraie nature de l’Europe dont ils
parlent
. Cette « Europe » ne serait-elle qu’un marché ? Qu’une communauté éco
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ie ? Qu’il soit bien entendu que cette chronique
parlera
de l’Europe vécue, celle des Européens, non des États, celle des cito
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pour l’élection du Parlement des Neuf. Oh ! pour
parler
d’Europe, on parlera de l’Europe. Et même on la mettra à toutes les s
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arlement des Neuf. Oh ! pour parler d’Europe, on
parlera
de l’Europe. Et même on la mettra à toutes les sauces, annonce ">L
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ependant que J. Chirac départageait… Oui, « pour
parler
d’Europe, on en a parlé ». Mais c’est à croire que s’il n’y avait pas
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partageait… Oui, « pour parler d’Europe, on en a
parlé
». Mais c’est à croire que s’il n’y avait pas de querelle entre Rocar
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nfâme » Depuis trente ans, M. Debré a beaucoup
parlé
de l’Europe, il a même écrit un ouvrage proposant de la faire non ste
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puis 1938 et d’ Esprit , qui dure encore, mais ne
parle
de l’Europe que pour mettre en garde contre les illusions et les dang
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e synthèse ne serait-il pas idéalement ce dont on
parle
un peu partout, plus ou moins bien, depuis 1957, date du traité insti
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sciences et conditionnent ces techniques. 5. On
parle
toujours de Francis Bacon, mais c’est bien plutôt de Descartes que pr
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sives. Il y a bien près d’un demi-siècle que j’en
parle
. On me disait, il y a dix ans encore, que c’était de l’utopie pure. J
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e l’utopie pure. Je réponds que la région dont je
parle
, et que je n’ai cessé de définir comme un « espace de participation c
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eas Sylvius Piccolomini — et qui fut le premier à
parler
de l’Europe comme de « notre patrie » au roi de Bohême Georges Podieb
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de Bohême Georges Podiebrad, qui est le premier à
parler
de l’Europe comme d’une Confédération. Georges Podiebrad (1420-1471)
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en Autriche voisine, et ce Marini lui a beaucoup
parlé
du Plan d’union des royaumes chrétiens que le Français Pierre Dubois
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ntinent. Il nous faut bien entendre que lorsqu’il
parle
de Liberté, Mickiewicz n’entend pas — sauf à la fin de sa vie — libér
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sition d’esprit totalitaire. Ma seconde raison de
parler
est simplement un devoir de piété pour la mémoire d’Emmanuel Mounier,
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on se reporte à la page indiquée 140. Je viens de
parler
longuement de la « mesure soviétique » et de la « mesure nationale-so
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on livre. Et enfin une remarque de fond : — je ne
parle
pas du tout « d’expériences » totalitaires qui seraient « trop simple
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des libraires français aux ordres de Vichy. Sans
parler
des articles, essais, pamphlets, chroniques que je n’ai cessé de publ
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, une double évolution se dessine. Le latin, tant
parlé
qu’écrit, devient de plus en plus la langue savante de l’enseignement
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uer en langues régionales. Par-delà les dialectes
parlés
, des convergences s’opèrent au profit de quelques-unes : langue d’oïl
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e suite pendant tout le chapitre. Le Moyen Âge ne
parle
guère que de royaumes et de peuples. Le xvie siècle élabore et préci
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antes ne peuvent manquer d’évoquer le « Dieu seul
parle
bien de Dieu » de Pascal… Nous sommes en plein délire de sacralisatio
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ranco-provençal, parfois appelé burgondien, a été
parlé
du ixe siècle à la fin du xviiie siècle dans la région délimitée gr
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on contenu ni sur sa forme politique. « Puisqu’on
parle
de l’Europe… », disait un journaliste. Justement, personne n’en parla
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, disait un journaliste. Justement, personne n’en
parlait
. Il s’agissait de savoir si la gauche ou la droite étaient plus ou mo
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ouvellement du Parlement européen : personne n’en
parle
ou presque, et seulement pour le dénigrer. Sauf l’un des rédacteurs d
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n forum pour l’année prochaine ? Je croyais qu’il
parlait
de notre colloque. J’étais absolument à côté de la réalité. Et je cro
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réunit beaucoup de monde et où tout le monde peut
parler
, mais c’est celui qui crie le plus fort qui vend le mieux sa marchand
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ope. De cette discussion, de ces thèmes, nous ont
parlé
avec beaucoup de pertinence, de réalisme et de sagesse, M. Lipatti, M
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s gens représentant les deux camps, comme on dit,
parler
avec rigueur, mais aussi avec amitié, autour d’une même table, sans a
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sse, que je crois que Hans Mayer connaît, il en a
parlé
l’an dernier… Finalement, il y a la source slave, à laquelle Valéry n
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À cinq heures de l’après-midi, un autre orateur a
parlé
de deux-cent-quarante-cinq définitions de la culture européenne. Cela
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s, et celle qui en réfère aux fins de l’homme. Je
parlerai
ici, après les chefs d’État, en pleine conscience des responsabilités
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er lentement dans tous les cas […]. Vous allez me
parler
, je le sais bien, des grandes difficultés accumulées sur votre route
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voix et nous avons des droits particuliers à vous
parler
, car vos lenteurs et vos hésitations, vos prudences que nous compreno
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re l’Unesco à l’échelle de l’Europe, inutile d’en
parler
ici. S’il entend n’affirmer que des généralités acceptables par des m
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oir passé un tiers de siècle à ne plus avancer, à
parler
de l’union sans la faire et à dire son urgence tout en la renvoyant à
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dénoncer l’aberration maximale du siècle, je veux
parler
de l’existence simultanée de deux grandes organisations à vocation eu
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onférenciers, dont j’étais le plus jeune, et j’ai
parlé
des maladies de l’Europe, de la mauvaise mine que je lui trouvais en
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ionné dès le début par des amis physiciens qui me
parlaient
de ces recherches. Je trouvais cela très bien, mais quand on s’est mi
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destruction de l’autre et de soi-même ? Quand on
parle
d’amour, on parle de beaucoup de choses complètement différentes, et
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autre et de soi-même ? Quand on parle d’amour, on
parle
de beaucoup de choses complètement différentes, et quelquefois tout à
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retirer et de finir les douze livres dont je vous
parlais
en débutant. Voilà pour mon engagement européen. Quel avenir ? Denis
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n, après quoi il n’y aurait plus personne pour en
parler
. Éviter la guerre, concrètement, c’est faire une Europe fédérale. Je
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aient baser l’Europe sur l’économie. Lorsqu’il me
parlait
un peu, de temps en temps, de ce que je faisais, il me regardait avec
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n’importe quel journal, vous verrez que l’on vous
parle
de la mort des forêts, chose que nous avions annoncée dans tous nos a
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éalité qui s’impose dans le monde entier. On nous
parle
de la manière de se nourrir, de la manière d’attaquer ou de ne pas at
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s toute la fraîcheur et la spontanéité du langage
parlé
. C’est dans la maison de Denis de Rougemont à Saint-Genis-Pouilly, en