1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
1 congénitale du personnage. Ses insultes contre la Patrie et la France ne sont certes pas plus antieuropéennes que ne le seront
2 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
2 s l’Histoire, Pie II identifie l’Europe à « notre patrie , notre maison », car tout y participe d’un même destin menacé. Il écr
3 nt, c’est en Europe même, c’est-à-dire dans notre patrie , dans notre propre maison, dans notre siège, que nous sommes attaqués
4 es nationalistes ; et surtout, sur l’Europe comme patrie des hommes libres et du refus de la fatalité. Jamais l’intelligentsia
3 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Utopie, technique, État-nation (printemps 1980)
5 istique et affective, qu’on appelait autrefois la patrie (terre des pères) puis la nation (lieu de naissance, puis le groupe d
4 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
6 le premier à parler de l’Europe comme de « notre patrie  » au roi de Bohême Georges Podiebrad, qui est le premier à parler de
7 icz a lutté toute sa vie pour la libération de sa patrie , et n’a cessé d’appeler à son aide l’Europe des peuples — celle des g
5 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
8 zance, sera le premier à nommer « l’Europe, notre patrie  » : la conscience naît en général du sentiment d’une menace qui pèse
9 élai. « Louis doit mourir parce qu’il faut que la patrie vive », avait proclamé Robespierre. Louis en appelle à la Nation — qu
10 e et jusqu’à nous, entre les termes de nation, de patrie , de peuple, de pays et d’État est dénoncée par une très simple observ
11 es à un État ; mais on ne peut rien annexer à une patrie . f) Mais c’est peut-être l’usage courant et si souvent abusif de l’ad
12 s nations, faire l’Europe des États, l’Europe des patries . » (Discours de Bourges, 8 mai 1979). Le même Debré écrit encore : « 
13 s nations, l’Europe des États, voire l’Europe des patries , confondues dans un même pot-pourri conceptuel, c’est vouloir, au fai
6 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Chronique européenne : La préparation des élections européennes (printemps 1984)
14 i ne s’obtient que dans les grands périls pour la patrie , n’implique aucun accord sur la question de l’Europe, bien au contrai
7 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
15 variés, appartenant à des confessions comme à des patries différentes, c’est la jeunesse européenne entière que nous avons cons
16 ous défendrons l’Europe, mais seulement comme une patrie commune. L’Europe est présente pour nous et nous le prouverons par no