1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). Contribution à une recherche éventuelle sur les sources de la notion d’engagement de l’écrivain (printemps 1978)
1 curité n’est plus, nous l’avons vu en maint autre pays , qu’une espèce de liberté sous conditions. Le clerc bourgeois, chez n
2 use la dictature, parce que le centre vivant d’un pays n’est pas dans un organisme de contrainte, mais doit être en chacun d
2 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
3 les déclarations des délégués d’une quinzaine de pays , qui venaient l’un après l’autre mettre en doute l’unité foncière de
3 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
4 tion des derniers droits de douane entre les neuf pays du Marché commun s’est effectuée le 1er juillet 1977, dans l’inattent
5 s plusieurs années la plupart des journaux de nos pays , tout en lui consacrant de plus en plus de place dans leurs colonnes 
6 au contraire, l’ensemble des Européens, de leurs pays , de leurs problèmes, de leurs souvenirs et de leurs espoirs, tels que
7 p de l’Asie », non pas seulement de ceux des neuf pays dont les gouvernements se sont associés à Bruxelles en vue d’harmonis
8 des jacobins et de Napoléon est en effet le seul pays d’Europe qui ait imposé tout à la fois et par la force, dès 1792, une
9 rs droits et libertés traditionnelles : Bretagne, Pays basque, Roussillon catalan, Aquitaine, Albigeois, Toulousain, Provenc
4 1979, Cadmos, articles (1978–1986). Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (printemps 1979)
10 tumière. C’est le moment où s’instituent dans nos pays les écoles primaires obligatoires et universelles : la conscription o
11 de Suisse, de France, de RFA, de Hollande, chaque pays pollue souverainement, et s’assure que ce sera toujours moins que les
12 t qui chevauchent parfois les frontières de trois pays , des calottes du Nord (Norvège, Suède, Finlande) à l’Öresund (Danemar
13 issance civique, économique et culturelle de leur pays . À part les guerres d’agression et les centrales nucléaires, qui exig
14 tions régionalistes et fédéralistes dans tous nos pays et à l’échelle continentale. — en vue d’établir un programme commun a
15 tions qui diffèrent d’une manière importante d’un pays à l’autre chez les Neuf21. Encore un mot sur mon titre-slogan. Je n’a
16 Future of America, Sept. 1977. 21. Dans certains pays , il existe un parti écologiste : Parti radical italien, Parti radical
17 al néerlandais, die Gruenen en RFA. Dans d’autres pays , le mode de scrutin permet ou interdit le panachage, donc permet ou i
5 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
18 s en réponse à la question : « Dans la CEE, votre pays risque-t-il de perdre sa culture et son originalité ? »
19 il l’a conservée même depuis l’adhésion de trois pays qui sont, ou bien anglophones, ou bien, en tout cas, éloignés du mond
20 enversé sur un projet qui était essentiel pour le pays . (p. 25) Le lendemain, il réitère, cette fois-ci à la RTF, devant to
21 l’histoire, parce que j’ai attiré l’attention du pays sur la participation essentielle à l’avenir de la France. » (p. 53)
22 rappante encore est l’évolution récente des trois pays qui ont forgé les premiers modèles de l’État-nation, c’est-à-dire de
23 à déclarer que la formule de développement de son pays n’était plus la centralisation, mais la région. L’organisation de 21
24 . Elle a approuvé en 1978 la « pré-autonomie » du Pays basque (Euskadi), de la Galice, de l’Aragon, de la province de Valenc
25 que l’on a proposé d’appeler des « fédérations de pays  », de communes, de mini-régions. Jamais constitution d’un pays d’Euro
26 mmunes, de mini-régions. Jamais constitution d’un pays d’Europe n’aura proposé une meilleure approximation du modèle fédéral
27 pé par le canton de Genève, la Haute-Savoie et le pays de Gex, est dotée d’une commission franco-suisse nommée par les gouve
28 d’unir au niveau régional des ressortissants d’un pays de l’Est et de deux pays de l’Ouest. VI. Déclaration de Copenhague
29 des ressortissants d’un pays de l’Est et de deux pays de l’Ouest. VI. Déclaration de Copenhague Adoptée à l’unanimité
6 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
30 ce et du Führer, les plus grands écrivains de nos pays (à l’exception de quelques cas de nationalisme flamboyant comme Kipli
31 us de la fatalité. Jamais l’intelligentsia de nos pays n’aura été plus naturellement européenne, ni mieux consciente de ses
32 u ou d’ Esprit , et des camarades résistants des pays de l’Axe, ou occupés par Hitler, qu’ils ne connaissaient pas encore,
33 Combat (France), des résistances européennes de 9 pays , du Movimiento federalista europeao en Italie, de Federal Union (G.-B
7 1980, Cadmos, articles (1978–1986). L’Université par l’Europe et vice versa (hiver 1979)
34 dra son immédiateté papale ou impériale selon les pays  ; perdra ses privilèges extraterritoriaux ; perdra ses conditions d’u
35 plupart des universités complètes dans les autres pays d’Europe. Le gigantisme, loin d’être éliminé, a donc été reporté du t
8 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Utopie, technique, État-nation (printemps 1980)
36 en persan Nâ-kopââbâd signifie littéralement « le pays du Non-où », le non-lieu-pays, c’est-à-dire le pays du non-lieu, le «
37 ys du Non-où », le non-lieu-pays, c’est-à-dire le pays du non-lieu, le « huitième climat » ou « l’Orient de l’âme ». Ou enco
38 ux de ce monde, la transcendance. Ou enfin : « le pays où ont lieu les événements mystiques ». C’est, chez Sohrawardi, un év
39 . Ici au tome II, p. 187 à 189. Voir aussi : Au «  pays  » de l’Imâm caché, Eranos Jahrbuch, Zürich, 1964. 46. Voir plus haut
9 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Madame de Staël et « l’esprit européen » (été 1980)
40 e un autre air ; on se trouvera donc bien en tout pays d’accueillir les pensées étrangères ; car dans ce genre, l’hospitalit
41 par n’être plus qu’un même peuple dans les divers pays de l’Europe et la religion chrétienne y a puissamment contribué.50
42 toute négative.54 Au contraire, dans les petits pays , les citoyens restent capables de comprendre les affaires de la cité
10 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
43 de l’influence calvinienne sur ces deux derniers pays . Du côté polonais, après quelques dizaines d’années au xvie siècle o
44 inaisons spéciales de quatre confessions dans les pays de l’Est, annoncent à la fois l’unité et les antinomies persistantes
45 en Suède entreprendre la réforme des écoles de ce pays . Il y est bientôt suspect, en tant que Frère morave, aux yeux des lut
46 omenius ait été méconnu ou mal « perçu » dans nos pays de l’Ouest. Mais ce que nous méconnaissons encore, trop souvent, c’es
47 Il y a là, de la part de l’opinion dans tous nos pays et tous nos milieux politiques et intellectuels, une espèce d’ingrati
48 lle des gouvernements se bornant à le bannir d’un pays à l’autre du continent. Il nous faut bien entendre que lorsqu’il parl
11 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
49 cupés. « Nul besoin de présenter l’auteur dans ce pays , la RAF s’en est chargée pendant la guerre », disait le professeur va
50 se montreront réellement capables de servir leur pays . […] Nous luttons tous, en effet, pour une cause commune ! Un an ava
12 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
51 animale, puis l’ensemble des habitants d’un même pays  : tandis que le pluriel nationes, dès Tertullien, au iie siècle, va
52 réseau européen établi au-dessus des autorités du pays ou de la ville et dépendant de la seule autorité ecclésiastique. Dans
53 ent au profit de quelques-unes : langue d’oïl des pays du Nord de la France (picard, normand, champenois, francien, lorrain,
54 Italie, en Allemagne, à un degré moindre dans les pays ibériques, des littératures en langues vulgaires apparaissent et se d
55 es termes de nation, de peuples ou de langues, de pays ou d’États sont interchangeables, non seulement dans l’usage vulgaire
56 re les termes de nation, de patrie, de peuple, de pays et d’État est dénoncée par une très simple observation : on peut anne
57 on peut annexer des peuples à une nation, ou des pays et territoires à un État ; mais on ne peut rien annexer à une patrie.
58 civique des provinces, obtenus par la division du pays en départements arbitrairement découpés. c) Toutes les routes, et dem
59 es chefs des partis politiques importants des dix pays de la CEE renouvellent leurs serments sur tous les postes : ils n’ont
60 gement sur les qualités morales des habitants des pays considérés. 2. Il se trouve que les « vertus » de la colonne II sont
13 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Chronique européenne : La préparation des élections européennes (printemps 1984)
61 d’abord 1. Le cas de la France Prenons ce pays de la clarté pour illustrer de manière exemplaire une situation ni pl
62 ni moins complexe en fait que dans n’importe quel pays des Dix, mais qui devient ici plus lisible qu’ailleurs, parce que le
63 avoir imaginé que si l’on veut que chacun de nos pays ait des chances de surmonter sa crise nationale, l’union seule peut l
64 n, « passer la barre des 50 % ». Dans les autres pays des Dix, même processus : pas un mot sur l’urgence de l’union ; pas u
65 nthropes ; pas un mot sur les sacrifices qu’aucun pays ne s’est dit prêt à consentir à l’œuvre, pourtant déclarée si « désir
66 , en Angleterre et en Italie, qui sont les quatre pays les plus importants de la Communauté, il a constitué très nettement,
67 e l’Europe. » Signe des temps : les verts de huit pays européens adoptent désormais un programme commun, créant ainsi ce qu’
68 (Pays-Bas) et deux groupes n’appartenant pas aux pays de la CEE : le Mk Miljopartiet (Suède) et la Liste alternative (Autri
69 ssibilité pour chacun de « vivre et travailler au pays  » ; — le droit pour tous les citoyens de s’exprimer clairement sur le
70 l. Ils sont très fortement minoritaires dans leur pays , mais ils sont unanimes dans leurs propositions européennes, et ceci
71 rincipe que « nous n’accepterions jamais dans nos pays respectifs ». Et de conclure, longuement ovationnée par les parlement
14 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Conclusions (été-automne 1984)
72 presque supprimé les risques de malaria dans les pays où elle régnait d’une manière endémique, et puis, ensuite, on s’est a
73 bien le dire d’habitude. Tout le monde, dans les pays latins surtout, a été enthousiasmé par la définition de Paul Valéry :
15 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
74 ésidence d’honneur de Churchill, 800 délégués des pays de l’Europe de l’Ouest et observateurs des pays frères de l’Est. Parm
75 s pays de l’Europe de l’Ouest et observateurs des pays frères de l’Est. Parmi eux siégeaient 16 anciens présidents du Consei
76 otre Europe désunie marche à sa fin. Aucun de nos pays ne peut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance.
77 éfense sérieuse de son indépendance. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose l’économie moderne
78 is de l’Europe 6000 jeunes gens venus de tous nos pays et décidés à « bousculer les gouvernements », comme l’avait suggéré P
79 ers vous notre ferveur ; vous rendrez à nos vieux pays envahis aujourd’hui par l’indifférence et le doute une grande espéran
80 fier les formalités douanières » entre leurs deux pays , membres de la CEE… Mais surtout, ce que je retiens de cette Marche s
81 on prise, à Luxembourg, par les ministres des six pays du Marché commun, et créant une Assemblée nouvelle, formée des membre
82 Conseil de l’Europe, puis treize observateurs des pays non membres de la CECA. Ainsi se trouva constituée l’Assemblée ad hoc
83 e les seuls intérêts économiques, et cela dans 10 pays seulement, c’est-à-dire un peu moins de la moitié des 21 qui forment
84 permettent d’embrasser l’unité millénaire des 21 pays de l’Ouest et des 8 pays de l’Est, non moins européens par leurs trad
85 ’unité millénaire des 21 pays de l’Ouest et des 8 pays de l’Est, non moins européens par leurs traditions culturelles, et pl
86 as perdre de vue « que l’Europe comprend d’autres pays que les démocraties de l’Europe occidentale » (…) « On peut imaginer
16 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
87 e, je dis curieusement parce que la France est le pays même de la centralisation. Il est vrai qu’il y avait parmi nous des E
88 er en Europe. J’avais beaucoup d’amis de tous les pays européens, réfugiés là-bas, avec qui nous nous disions : si nous pouv
89 erre atomique, même localisée entre deux ou trois pays , et qui durerait un ou deux mois, aboutirait à la fin de toute vie su
90 naturelle, dont les habitants en Savoie, dans le pays de Gex où nous sommes, à Genève, dans le canton de Vaud et celui du V
91 re extrêmement cher, comme vous voyez de nombreux pays le faire ces temps-ci. Mais au contraire avec l’obsession de créer un
92 yez-vous pas qu’il est utopique de penser que les pays de l’Est peuvent s’unir à l’Europe ? Ils ne demandent que ça. J’en ai