1 é du citoyen moyen. Le fascisme a montré à nu ces prétentions , mais les États bourgeois n’ont plus guère à lui envier qu’un degré s

2 ain des habitants de l’Âge d’Or réduit à rien les prétentions puériles de la civilisation par son innocence et ses vertus simples »

3 elle est tout simplement l’une des constantes des prétentions intellectuelles de nos élites, des marquis moliéresques aux précieux

4 ends l’union fédérale de nos peuples, au-delà des prétentions de l’État-nation ? 4. Sur le chapitre du colonialisme — qui est sans

5 ra lorsqu’elle ne sera plus qu’un souvenir et une prétention — est à ce moment pleine et entière. L’Europe, qui ne s’appelle encor

6 et leur agir concret, non plus dans leurs seules prétentions . Nous verrons aussitôt que tous, sans exception, sont à la fois trop

7 ’État classique — en fait — puis à la nation — en prétention . J’enchaîne ici sur une remarque capitale de Bertrand de Jouvenel dan

8 u positivement impérative. Elle n’est plus qu’une prétention que l’on invoque à titre de tabou, ce qui exempte de toute raison don

9 t bloquage de toute solution incompatible avec la prétention que l’on allègue arbitrairement. Ce n’est plus volonté, mais nolonté,