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au fond que l’épiphénomène ou le corollaire d’un
processus
historico-économique plus vaste : le processus d’unification du monde
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un processus historico-économique plus vaste : le
processus
d’unification du monde. » Sur quoi l’auteur conclut dans un large fin
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as tenir compte des finalités, mais seulement des
processus
mécaniques opérant dans un milieu artificiellement isolé. La techniqu
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es de l’être européen. La perception n’est pas un
processus
à sens unique : elle se constitue dans un chassé-croisé du sujet et d
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et de la nature, entraîne, par son ordre même, le
processus
éducatif. C’est l’ordre des choses qui constitue le véritable princip
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de la nature. L’éducation fait donc corps avec le
processus
formateur qui anime tous les êtres et n’est qu’un des aspects de ce v
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tout le développement spontané de la nature et le
processus
éducatif. C’est pourquoi celui-ci n’est pas limité à l’action de l’éc
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rmateurs de la nature et d’avoir ainsi intégré le
processus
éducatif dans un système tel que ce processus en constitue même l’axe
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le processus éducatif dans un système tel que ce
processus
en constitue même l’axe fondamental. À quel point ce génie multiform
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uand des facteurs humains y entrent en compte. Le
processus
qu’on vient de décrire paraît inévitable, irréversible. Mais nous voy
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e des 50 % ». Dans les autres pays des Dix, même
processus
: pas un mot sur l’urgence de l’union ; pas un mot sur sa forme : féd
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ne « dimension culturelle » (souligné par moi) au
processus
de développement économique et social. Ce qui revient à « ajouter »