1
ires plus nobles. Est-ce que tout se ramène à des
querelles
de gros sous ? Est-ce que Marx a raison, est-ce que l’économique sera
2
». Mais c’est à croire que s’il n’y avait pas de
querelle
entre Rocard et Mitterrand, entre ces deux-là et Marchais, entre Debr
3
cesse d’être « ennuyeuse » que si elle ranime les
querelles
de partis. Voilà donc la passion, mais où est l’Europe ? On ne voit p
4
e s’écrie : Ô genre humain, de quelles luttes et
querelles
, de quels naufrages dois-tu être agité ! Tu es devenu un monstre aux
5
l s’écrie : « Ô genre humain de quelles luttes et
querelles
, de quels naufrages dois-tu être agité ! Tu es devenu un monstre aux
6
r l’empire pour le temporel, nonobstant la longue
querelle
née de la tendance irrépressible de chacun des deux pouvoirs à débord
7
ux pouvoirs à déborder sur le domaine de l’autre (
querelle
des Investitures, par exemple). Dans son grand ouvrage sur la Civilis
8
représentants des États membres s’abaissent à des
querelles
subalternes économiques ou financières hors de proportion avec les dé