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ectuel une adhésion sentimentale, un enthousiasme
sans
réserve pour les plus déplorables duperies collectives : guerre « nat
2
[…] Voici notre désordre. On ne peut plus penser
sans
buter aussitôt contre un dilemme absurde : ou bien la pensée reste «
3
Reszler illustre les étapes de cet immense procès
sans
avocats, qui va de l’éloge du bon sauvage aux imprécations contre l’O
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ésormais de notre capacité à présenter au monde —
sans
chercher à le vendre et encore moins à l’imposer — un modèle de fédér
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nous ? Personne n’a jamais dit : « je suis mort »
sans
démontrer par là qu’il ment. La phrase ne sera jamais dite, ou si ell
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le facteur principal d’accroissement. J’accepte
sans
réserve cette position du problème. Pour moi, l’anthropologie évangél
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à parler de la « mort de l’homme ». Paul revient
sans
cesse sur la nécessité pour le « vieil homme » de « mourir ». Il n’es
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ma ratio de l’arbitraire du pouvoir, du ça qui va
sans
dire parce qu’il n’osera jamais s’avouer et qu’il compte sur notre lâ
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alors comment pourrait-on avec un tel sang-froid,
sans
la moindre émotion dans la voix et parfois même avec un je ne sais qu
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e la France déifiée, de la Puissance divine, donc
sans
limites, et de la mission universelle de la nation une et indivisible
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de la République française, idéalement fermée et
sans
dépendance de quiconque. Si elle s’ouvre, c’est pour rayonner, manife
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à tout moment de chacun des membres, c’est-à-dire
sans
foi jurée, donc sans fœdus, autant dire, sans fédéralisme. V. « Dé
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un des membres, c’est-à-dire sans foi jurée, donc
sans
fœdus, autant dire, sans fédéralisme. V. « Défaire la France » ?
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ire sans foi jurée, donc sans fœdus, autant dire,
sans
fédéralisme. V. « Défaire la France » ? En ce point, l’on se de
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fondu « privilèges » et « libertés » ont renoncé,
sans
nulle compétence pour ce faire, à tous les droits et à l’autonomie de
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congrès du RPR à Paris, le 12 novembre 1978. 15.
Sans
nulle autorisation de ma part, bien entendu. Pas plus d’ailleurs que
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ne signifie pas que notre colloquej doive rester
sans
effets réels sur nous-mêmes et sur ce qui vient. Que veut dire, en ef
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es agences d’État : Wolf, Reuter, Havas, Stefani,
sans
l’aide desquelles la guerre de 1914 n’eût pas été concevable. Dévelop
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uvement — comme c’est aussi le cas de l’urbanisme
sans
frein — à la fois les écosystèmes naturels et les communautés humaine
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tes ; — s’il est vrai que ni la région ne se fera
sans
l’Europe fédérée, ni celle-ci sans des régions à sa base ; — s’il est
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ion ne se fera sans l’Europe fédérée, ni celle-ci
sans
des régions à sa base ; — s’il est vrai enfin que les problèmes écolo
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ellement, les industries vitales seront réparties
sans
notre accord ; naturellement, notre force nucléaire se trouvera petit
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lée ; naturellement, notre langue sera éliminée ;
sans
nul doute les principes et les objectifs de l’éducation de nos enfant
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ur sur les nations voisines, annexées et alignées
sans
égard pour leurs intérêts propres ni pour leurs identités culturelles
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ttachement direct de leur région à l’Europe unie,
sans
passer par le relais londonien. Mais, disent les Anglais, « il est ri
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de cette division que le xixe siècle eût imaginé
sans
peine, il prévoit beaucoup plus : la répartition du pouvoir étatique
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ontée des royaumes nationaux déchirant la tunique
sans
couture du Saint-Empire. Cinq ans plus tôt, en 1303, Philippe le Bel
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e la souveraineté nationale absolue. « La tunique
sans
couture » du monde en paix sous « le divin Auguste monarque, et Paul
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« État des nations (civitas gentium) » croissant
sans
cesse librement, qui s’étendrait à la fin à tous les peuples de la te
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i règnent aujourd’hui avec l’aide du patriotisme,
sans
soupçonner à quel point leur politique de désunion est fatalement une
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tler », « Par-dessus les frontières », « L’Europe
sans
la France », « Notre Europe ». À quoi s’ajoutent chroniques et articl
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onstituée au cours des siècles par la composition
sans
préméditation de valeurs religieuses — grecques, mazdéennes, romanes
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: hôtels, auberges, marché, boutiques, chapelles,
sans
oublier plusieurs terrasses de café. Dans le centre aussi, un groupe
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pas une image du monde : on la cherche en commun,
sans
relâche. Au sein des colloques règne une liberté spontanément discipl
35
e et les universités existantes, on les imaginera
sans
peine. L’introduction, si désirable dans nos mœurs universitaires, d’
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s du monde, en parfait détachement de tous liens.
Sans
feu ni lieu, il est comme Shiva le mendiant du Ciel et l’éternel erra
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de la mystique à l’histoire, de « ce qui vient »
sans
fin à « ce qui s’établit », s’institue, sécrète son architecture, com
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avenir et du futurum aeternum ; du dieu qui vient
sans
fin vers nous — Dieu à-venir. 45. J’emprunte tout cela — hélas, bea
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européen ». Dans les exemples invoqués revenaient
sans
cesse « l’esprit de parti », « l’esprit national » et « l’esprit du c
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-t-on, mais la Réformation n’a-t-elle pas divisé,
sans
espoir, la chrétienté, Nord réformé, Sud catholique et orthodoxe ? Ré
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st-il retiré de toi ? Comment a disparu ton éclat
sans
rival ? Où est la vigueur de ton peuple ? Où, le respect que toutes l
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’une armée commune et d’une assistance mutuelle «
sans
même qu’il l’ait requise à notre collègue attaqué » ; enfin, d’un bud
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en sûr, de rappeler que tout le contexte condamne
sans
appel fascisme, nazisme et stalinisme. Citations III, IV et V P
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, au nom de laquelle ils n’ont cessé de condamner
sans
rémission toutes formes d’idéologies totalitaires. B.-H. Lévy ignore-
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dicat des libraires français aux ordres de Vichy.
Sans
parler des articles, essais, pamphlets, chroniques que je n’ai cessé
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retenues par B.-H. Lévy ont toutes été choisies,
sans
exception, de telle manière qu’un lecteur d’aujourd’hui ne sachant qu
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t d’offrir au monde un modèle d’ordre : « Chacun,
sans
renoncer à ses espérances, doit contribuer à mettre de l’ordre chez s
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e lui reproche « cette manie de porter des bottes
sans
aller à cheval, ces uniformes, ces poignards qui pendent à vos ceintu
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royaumes des pouvoirs suprêmes jusque-là détenus
sans
conteste par la papauté pour le spirituel et par l’empire pour le tem
50
confronter puis se fondre dans une uniformisation
sans
cesse plus marquée de l’armée. Ce puissant instrument de la force de
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nt des États. » (p. 68) « Or, que serait l’Europe
sans
ses nations ? » (p. 69) Et voilà justifiées par le bien des États les
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, d’Espagne, d’Autriche et la guerre de Sept Ans,
sans
oublier l’écrasante défaite subie par Soubise à Rossbach au sommet de
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au pluriel qu’au singulier » (p. 69). Mais quoi ?
Sans
pluralité des États, comment ferait-on ces guerres qui demeurent les
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st le seul interprète… Elle est donc pratiquement
sans
limites. 3. Confusion générale des concepts De la fin du xiie
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d’abord (I), puis dialectique des concepts (II),
sans
décider qui a commencé ou résulté, de la poule ou de l’œuf. I. Chro
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360 pour d’autres mesures) la mise à mort du roi,
sans
appel ni délai. « Louis doit mourir parce qu’il faut que la patrie vi
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ées, mais aventureuses, et de type plutôt féodal,
sans
liens d’aucune sorte avec l’État en général : il suffit de penser à l
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tralisation administrative exigent une discipline
sans
cesse accrue du citoyen. Napoléon l’avait prévue dès son accession au
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cralisation de l’État-nation dans sa souveraineté
sans
limites verra la guerre elle-même se retourner contre l’homme et, sel
60
nstruments d’une folle susceptibilité avertissent
sans
relâche les gouvernants de tout ce qui se passe, ou seulement se prép
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paix, désormais peut être perdue d’un seul coup,
sans
retour, pour tous et par chacun. La masse des informations de tous le
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ules prétentions. Nous verrons aussitôt que tous,
sans
exception, sont à la fois trop petits si on les regarde à l’échelle m
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e venue de l’Est ; — ni lutter contre l’inflation
sans
augmenter le chômage ; — ni réduire le chômage sans augmenter l’infla
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ns augmenter le chômage ; — ni réduire le chômage
sans
augmenter l’inflation ; — ni maintenir la valeur de leur monnaie ; —
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ni faire face à leurs besoins allégués en énergie
sans
menacer l’environnement et s’opposer par la police à l’exercice des d
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surtout vu la construction de cette Souveraineté
sans
limites ni règles, dont nos ancêtres n’avaient pas l’idée. » (p. 216)
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fédération européenne et l’autonomie des régions,
sans
prendre la peine d’en donner d’autres raisons, la seule mention de l’
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Parti conservateur en faveur de la Communauté est
sans
ambiguïté… Mr. Kinnock, pour le Parti travailliste, a exigé, lui, « l
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concept d’une Europe fédérale ». Pour eux, il va
sans
dire que « la revendication européenne devra s’accompagner à terme d’
70
e pas trop à l’idée nationale, qu’elle transcende
sans
peine », réalise l’Europe « que nos pères n’ont pas su faire ». ( Le
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Les Verts » : voilà qui évoque plutôt la gauche (
sans
raison sérieuse, disons-le. « Conserver la nature pour que survivent
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mais aussi avec amitié, autour d’une même table,
sans
animosité dans la manière de discuter. Et tout cela, dans une conjonc
73
urope a fait dans le reste du monde, en diffusant
sans
la moindre précaution, sans la moindre prise de conscience, sans les
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u monde, en diffusant sans la moindre précaution,
sans
la moindre prise de conscience, sans les moindres réserves, sans le m
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précaution, sans la moindre prise de conscience,
sans
les moindres réserves, sans le moindre sens des cultures différentes,
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prise de conscience, sans les moindres réserves,
sans
le moindre sens des cultures différentes, notre civilisation scientif
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éfinie comme ce qui admet un nombre non limité et
sans
cesse croissant de définitions toutes justes, c’est-à-dire capables d
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eront à leur manière, selon leur vocation unique,
sans
précédent, tout ce qui leur est venu de partout — les objets de leur
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pas hésité à qualifier de « cafouillage politique
sans
précédent dans l’histoire de l’Europe » et « d’aberration maximale du
80
homme de pensée soucieux d’agir et d’un militant
sans
relâche de l’union fédérale de l’Europe. Les responsables politiques,
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pas mûre, et chacun sait qu’on ne peut rien faire
sans
elle. » C’est qu’ils se prennent pour l’opinion, qu’ils ont négligé d
82
appuie cette suggestion. On ne fera pas l’Europe
sans
informer ses peuples, et du danger qu’ils courent, et de la parade pu
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notre fédération. On n’informera pas les peuples
sans
une propagande massive. Personne n’a les moyens de la financer. La se
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simplement. 3. Le Conseil de l’Orangerie. Suite,
sans
nul doute à l’initiative avortée de Daniel Villey, la troisième manif
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ute l’Europe en autocars à l’appel de l’UEF91, et
sans
respecter les frontières, restera le symbole joyeux de cette étape de
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composent : en « associant » leurs souverainetés
sans
en aucune façon les « abandonner », ils ont donné naissance à un pouv
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’allais y retrouver quelque chose qui n’était pas
sans
relation avec cette parole de Spaak. Et en effet, en date du 23 août
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litaire, que l’action des gouvernements s’efforce
sans
relâche de soustraire au débat public, au contrôle démocratique, à l’
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e reste est littérature. Il n’y a pas de libertés
sans
responsabilités correspondantes, comme, en retour, nul n’est tenu pou
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clé du progrès politique, le Conseil de l’Europe,
sans
contredit, s’est placé au tout premier rang des constructeurs d’une E
91
de siècle à ne plus avancer, à parler de l’union
sans
la faire et à dire son urgence tout en la renvoyant à quelque session
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deux grandes organisations à vocation européenne,
sans
liens d’aucune espèce hors des buts allégués d’union, cela va sans di
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ne espèce hors des buts allégués d’union, cela va
sans
dire, buts toujours différés sine die, et cela va tellement mieux en
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politique, juridique, sociale et culturelle, mais
sans
autres pouvoirs que de propositions, et la seconde à vocation unique,
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que, économique, mais dotée de quelques pouvoirs (
sans
cesse menacés, d’ailleurs, par le droit de veto d’un des membres) ; l
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de législatif digne du nom, mais deux assemblées
sans
nuls liens et dont les vœux n’ont guère de poids au regard des intérê
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fouillage politique — donc fait de main d’homme —
sans
précédent dans l’histoire de l’Europe. L’ensemble d’études politiques
98
ugmans, Alexandre Marc, Raymond Silva), qui avait
sans
cesse été à l’avant-garde de l’action sur l’opinion publique. Ces six
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de cette opération hautement risquée et réalisée
sans
la moindre bavure. 92. Publié par le Centre européen de la culture,
100
Berne, où j’avais acheté ma Gazette de Lausanne
sans
plus penser à mon article. Il était en première page, et le titre en
101
. » Je me dis : « Bon c’est un peu sentimental »,
sans
penser une seconde que cela produirait un déchaînement dans le grand
102
s de forteresse dans le Valais, au pain, à l’eau,
sans
visites ni courrier. Vous avez bien compris ? Répétez. » J’ai répété
103
t d’écrire. Bien entendu, à New York, je pensais
sans
cesse à ce qu’on pourrait faire si Hitler était battu, si nous pourri
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rès bien, mais quand on s’est mis à les appliquer
sans
aucune mesure, sans aucune finalité, sans aucune règle sauf celle de
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on s’est mis à les appliquer sans aucune mesure,
sans
aucune finalité, sans aucune règle sauf celle de vaincre, de tuer le
106
pliquer sans aucune mesure, sans aucune finalité,
sans
aucune règle sauf celle de vaincre, de tuer le plus possible d’hommes
107
nt supprimer le genre humain, détruire la nature,
sans
mesurer les conséquences à long terme de leurs activités. C’est une d
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is pas que les utopies vont se réaliser comme ça,
sans
nous. Si on veut que les choses avancent dans le sens de la paix, c’e