1
n domaine de ce qu’on a nommé le désordre établi.
Si
« privée » que se veuille en effet la pensée, si petite qu’elle se fa
2
Si « privée » que se veuille en effet la pensée,
si
petite qu’elle se fasse au réduit intérieur, l’État moderne a su trou
3
illeurs leur violence. Ou plus exactement encore,
si
je fais de la politique, c’est bien moins pour sauver le monde que po
4
ée libre, j’entends : de pensée responsable. Mais
si
l’intelligence, passant outre à son dégoût, accepte le combat tel qu’
5
siècle, assez nouveau parmi les intellectuels, et
si
violemment accentué qu’il peut paraître suffisant pour définir un fro
6
tés et qui se crée ses propres risques et périls,
si
libéral que prétende être le régime. « La supériorité véritable produ
7
, dégagée de toute allusion impure ; Kierkegaard,
si
désespérément soumis aux intermittences de la foi que l’ironie chez l
8
dénoncé par des « intellectuels » français. Mais
si
le monde ne s’en porte pas mieux, l’intelligence n’y gagne guère. […]
9
parences d’une dictature. Je ne cesserai pas pour
si
peu, de professer une notion de l’engagement qui fut commune, dans le
10
agit d’une attitude spécifiquement européenne, et
si
peu étrangère ou extérieure à l’Europe que l’on peut lire dès la p. 3
11
e les comprendre. Mais il serait vain de chercher
si
pareille situation est conforme ou hostile à la tradition européenne
12
ur quoi l’auteur conclut dans un large finale : «
Si
l’Europe doit survivre en tant que civilisation et s’acquitter des de
13
nditions d’un renouveau (automne 1978)f I
Si
l’homme, au sens de la personne, est mort ou doit mourir bientôt, il
14
l’homme ne peut être qu’une fausse nouvelle, car
si
Dieu est mort, c’est qu’il n’était pas Dieu ; n’existant pas, il ne p
15
s Dieu ; n’existant pas, il ne pouvait mourir. Et
si
l’homme, fait à l’image de Dieu, était mort, comment le saurions-nous
16
là qu’il ment. La phrase ne sera jamais dite, ou
si
elle est dite, ne sera pas croyable. Derrière chacun de ces slogans f
17
à l’innocence, car on ne condamne pas un prévenu
si
l’on peut démontrer qu’il n’était pas responsable, que ce n’est pas s
18
l’homme un « doublet » de chair et d’esprit. Il a
si
bien séparé le corps et l’âme qu’il n’a plus su comment les rejoindre
19
’hypothèse un peu aberrante de la glande pinéale.
Si
l’homme est un doublet empirico-transcendental, il mourra donc avec l
20
ur. 9. Exemple : on sera contre le puritanisme
si
l’on pense qu’il dérive nécessairement du christianisme (ce qui n’est
21
? Quelle est l’Europe qui selon eux « agonise » ?
Si
c’est « L’Europe des Neuf », qu’on l’appelle par son nom : la Communa
22
cer et accepter que tout cela soit perdu, — comme
si
tout cela n’était pas nous ? Aux yeux des journalistes qui ont compos
23
nche — l’Europe ne cesse d’être « ennuyeuse » que
si
elle ranime les querelles de partis. Voilà donc la passion, mais où e
24
’anglo-saxonne, en défaisant la France… En effet,
si
la France n’existait plus, comme tout serait simple ! » On notera que
25
déalement fermée et sans dépendance de quiconque.
Si
elle s’ouvre, c’est pour rayonner, manifester et imposer sa place nat
26
En revanche, les péchés sont légion, comme prévu.
Si
le premier se nomme supranationalité (voir plus haut), le nom du deux
27
eule deviendrait la victime d’une Europe fédérée,
si
l’on en croit Michel Debré. La réponse est gênante. Pour lui. La Fran
28
s enseignants ont à présenter ces brochures. Mais
si
l’un ou l’autre s’avisait de présenter aussi une brochure critique po
29
D’où cette nouvelle définition de la politique :
si
l’on est pour le nucléaire, on fait de l’information, si l’on est con
30
est pour le nucléaire, on fait de l’information,
si
l’on est contre, on fait de la politique. En fait, l’écologie est un
31
st aussi ce qu’en pense le tiers-monde.) En fait,
si
nous prenons un peu de recul pour considérer le phénomène dans son en
32
es que les gouvernements de nos États nationaux —
si
lié que soit leur sort à celui de la croissance industrielle — se son
33
s ministères sont les premiers à le reconnaître.)
Si
la croissance de la civilisation industrielle correspond exactement a
34
et qu’on puisse lui répondre. 6. Il s’agit donc,
si
l’on veut arriver à des solutions écologiques, à restaurer, maintenir
35
ns ni éco-société, ni régions, ni Europe fédérée,
si
nous n’obtenons pas les trois à la fois ; c’est qu’aucune de ces troi
36
re, par exemple) de ces trois-là, mais parce que,
si
la solution idéale est impossible, on choisit la plus pratique. Il su
37
e général est positif : « On ne fera pas l’Europe
si
on ne la fait pas avec les peuples et en les y associant23. ». « C’es
38
le général déclare : Eh bien, je vais vous dire,
si
ça marche, ce sera très bien, naturellement ; si ça ne marche pas, ce
39
si ça marche, ce sera très bien, naturellement ;
si
ça ne marche pas, ce sera très bien aussi… (p. 19) Le 24 avril, au g
40
nse va engager le destin de la France, parce que,
si
je suis désavoué… sur ce sujet capital… je cesserai aussitôt d’exerce
41
lle. Puis j’essaierai de comprendre les raisons —
si
on ose dire — de la défection générale dont nous sommes aujourd’hui l
42
la hausse des prix, ne peuvent être enrayées que
si
la souveraineté absolue est enlevée aux Princes et passe aux Peuples.
43
mmunistes staliniens exceptés. Mais quelques noms
si
prestigieux qu’ils soient ne font pas une génération ni un mouvement.
44
d’une culture hollandaise ou suisse ou allemande.
Si
nous voulons que la culture française reste, il faut qu’elle soit int
45
e n’aura aucun sens et ne sera faite que de mots,
si
elle ne se place pas dans le cadre d’un effort beaucoup plus profond
46
. Et que l’Europe seule peut en offrir le modèle,
si
d’abord elle parvient à le vivre. Autrement, on ne la croira pas. Car
47
s 1810, l’empereur s’adresse au Conseil d’État :
Si
mes espérances se réalisent, je veux trouver dans ce corps même une g
48
aines discussions qui, chez tous les peuples, ont
si
fréquemment tourmenté l’opinion publique. Commentaires de G. Gusdorf
49
aximum vingt personnes, à l’optimum une douzaine.
Si
quelqu’un désire absolument donner une conférence, le soir, c’est à s
50
je serais heureux de pouvoir étudier et discuter,
si
j’avais à participer aux activités de la commune : 1. Les options fo
51
tes, on les imaginera sans peine. L’introduction,
si
désirable dans nos mœurs universitaires, d’une année sabbatique de ty
52
un espace donnés d’un modèle déduit d’aujourd’hui
si
ce n’est d’hier. Mais Toynbee a très bien montré que les utopies sont
53
e à l’autre les chefs-d’œuvre de l’esprit humain…
Si
chaque nation moderne en était réduite à ses propres trésors, elle se
54
re propre à les enflammer. D’où elle déduit que «
si
l’homme parvenait individuellement à dompter ses passions, le système
55
base de la culture européenne, et les diversités
si
caractéristiques de l’être européen. La perception n’est pas un proce
56
s), entre factions ou sectes, comme c’est le cas,
si
souvent, quand l’influence lourdement uniformisante des intérêts maté
57
Où ta gloire ? Que t’ont servi tant de victoires,
si
tu devais si vite être menée au triomphe de tes vainqueurs ? À quoi b
58
? Que t’ont servi tant de victoires, si tu devais
si
vite être menée au triomphe de tes vainqueurs ? À quoi bon avoir rési
59
on avoir résisté à la puissance des chefs païens,
si
maintenant tu ne peux plus soutenir l’assaut de tes voisins ? Puis P
60
e B.-H. Lévy dans L’Idéologie française. Il s’est
si
bien gardé de l’appliquer qu’il m’oblige à le faire aux dépens de son
61
ce : ce livre ne vaut rien, laissez tomber. Comme
si
un livre avait besoin d’être bon pour faire du mal ! On va voir ce qu
62
la « mesure nationale-socialiste ». Et j’écris :
Si
nous condamnons ces religions, c’est dans leur terme, au nom d’un act
63
au pouvoir ? Tout cela ne serait presque rien
si
, dans L’Express n° 1546 du 13 février 1981, Raymond Aron lui-même n’a
64
le détail précis qu’on peut déceler le procédé —
si
contagieux chez les critiques, on va le voir — des citations lentemen
65
e renvoie à Esprit , janvier 1934, p. 533.) Mais
si
l’on se reporte au texte de Mounier, on lit ceci : On ne combat pas
66
, quand on n’en peut plus, quand le monde devient
si
obscur et si lourd, ah ! qu’il est commode de mettre tout le paquet d
67
en peut plus, quand le monde devient si obscur et
si
lourd, ah ! qu’il est commode de mettre tout le paquet dans les mains
68
e dans le n° 5 d’ Esprit . « Mon témoignage sera,
si
tu veux bien, celui d’un jeune français qui a éprouvé sur place la fo
69
i, — parce qu’à la France revient l’initiative. »
Si
la France se décide à être elle-même, alors tout peut changer, « le d
70
l’Occident traitant de « L’amour et la guerre ».
Si
un auditeur avait pensé que c’était fasciste, il m’aurait attaqué ou
71
Seuil, 1969. 60. « L’émoi » que Lévy m’attribue
si
bizarrement devant les bottes et les chemises ouvertes — serait-ce le
72
a continuité de l’État de Louis XIV à nos jours,
si
l’on en croit les très curieuses définitions de « l’État classique »
73
atrie. f) Mais c’est peut-être l’usage courant et
si
souvent abusif de l’adjectif national qui fait le mieux sentir la néc
74
u’est l’armée, et par la protection de la police,
si
généreusement accordée contre la « subversion ouvrière ». L’ultima ra
75
veux d’où part « le coup électrique de la Raison,
si
prompt d’un bout de la France à l’autre », ainsi que le dit Anarchars
76
tous, sans exception, sont à la fois trop petits
si
on les regarde à l’échelle mondiale, et trop grands si l’on en juge à
77
les regarde à l’échelle mondiale, et trop grands
si
l’on en juge à leur incapacité d’animer leurs régions, et d’offrir à
78
l’est aujourd’hui par l’ensemble des citoyens. »
Si
le peuple est ici déclaré souverain, c’est l’État qui dispose du pouv
79
rmet de l’affirmer. Soyons seulement assurés que,
si
ces précurseurs-là échouent, l’œuvre ne sera jamais accomplie par les
80
l’union de l’Europe , Stock, Paris, 1979. 77. «
Si
l’on estime qu’être opposé à tout abandon de souveraineté, c’est être
81
aire, puisque le vrai problème se réduit à savoir
si
l’Europe — quel que soit son régime — unitaire ou fédéraliste — sera
82
l’autre des debaters ne semble avoir imaginé que
si
l’on veut que chacun de nos pays ait des chances de surmonter sa cris
83
t, personne n’en parlait. Il s’agissait de savoir
si
la gauche ou la droite étaient plus ou moins cohérentes avec leur ima
84
dit prêt à consentir à l’œuvre, pourtant déclarée
si
« désirable » par ses politiciens chevronnés. 2. Le cas de la Gran
85
r l’accroissement des ressources de la Communauté
si
la Grande-Bretagne ne reçoit pas sa ristourne pour 1983 ». Et elle ex
86
propositions européennes, et ceci corrigera cela,
si
les partis classiques persistent à ne rien vouloir pour l’Europe, mai
87
à l’équilibre démocratique, fassent preuve d’une
si
constante impéritie au sein du Conseil des communautés, en particulie
88
sociale a fait son apparition au xixe siècle. Et
si
la démocratie européenne doit voir le jour au xxe siècle, il ne nous
89
déjà eu lieu, puis ce Forum culturel. Il s’agit,
si
j’ai bien compris, d’une réunion intergouvernementale, formée de tren
90
ur dénouer un conflit gigantesque. Je ne sais pas
si
je me fais bien comprendre, c’est un peu difficile à transmettre et c
91
droit communautaire qui est tellement important ;
si
l’on veut faire des fédérations, c’est à cela qu’il faut se rapporter
92
temps. Jamais l’histoire du monde n’aura connu un
si
puissant rassemblement d’hommes libres. Jamais la guerre, la peur et
93
tout faire en deux pas, sauf franchir un fossé. —
Si
votre œuvre est de longue haleine, il n’y a pas une minute à perdre.
94
laborer. Cet été, en septembre, à Strasbourg […].
Si
vous me dites que c’est prématuré, je vous supplierai de déclarer cla
95
uelles conditions, cela cessera d’être prématuré.
Si
vous me dites que c’est très joli, mais qu’il faut qu’on vous laisse
96
’obtenir de Staline. Car en Europe il y en a peu.
Si
vous me dites enfin que c’est plus difficile que je n’ai l’air de le
97
penser dans ma candeur naïve, je vous demanderai
si
quelque chose au monde est plus difficile à concevoir que le maintien
98
l’anéantissement ou pour de nouvelles floraisons.
Si
dans les circonstances actuelles l’Europe n’est pas capable de se don
99
se donner une voix dans le concert international,
si
elle s’enlise dans cette division qui l’empêche aujourd’hui de peser
100
nde sur la pente fatale où déjà il s’est engagé ?
Si
les délégués des peuples européens réunis à Strasbourg ne font pas l’
101
ère que nous avons conscience de représenter ici.
Si
une nouvelle fois, mais en plus grand nombre, nous avons forcé les fr
102
grand nombre, nous avons forcé les frontières, et
si
nous sommes ici devant votre maison — la nôtre aussi — c’est parce qu
103
4. Mais de renvoi en renvoi, les ministres feront
si
bien traîner les choses que le projet tout entier se verra finalement
104
apeauter » avec la CECA. Cette belle initiative,
si
bien conduite par les membres des assemblées et si bien tuée par les
105
i bien conduite par les membres des assemblées et
si
bien tuée par les représentants des souverainetés nationales — qui av
106
nécessaires pour que soit respectée la Charte »,
si
l’on reprend les termes du Message de La Haye. Des succès important
107
toute consacrée à la construction de l’Europe : «
Si
c’était à refaire, je commencerais par la culture. » Et l’on a vu la
108
peu de superflu au nécessaire — et je dis halte !
Si
la culture n’est pas première, n’est pas directrice et rectrice, elle
109
ce, elle n’est rien qui mérite qu’on s’en soucie.
Si
le CDCC limite ses ambitions à refaire l’Unesco à l’échelle de l’Euro
110
uropéennes (donc nationales) : ce qui évacuerait,
si
c’était vrai, la signification principale du document… On nous appren
111
et qui exige une réponse immédiate est de savoir
si
nous allons enfin prendre conscience d’un scandale qui n’est pas, com
112
membres. Qui oserait, aujourd’hui, refuser cela ?
Si
le présent article n’avait d’autre utilité que de poser la question à
113
bre. De même qu’en justice, on sait très bien que
si
vous avez commis une grave faute ou un crime et que votre avocat peut
114
, je pensais sans cesse à ce qu’on pourrait faire
si
Hitler était battu, si nous pourrions rentrer en Europe. J’avais beau
115
à ce qu’on pourrait faire si Hitler était battu,
si
nous pourrions rentrer en Europe. J’avais beaucoup d’amis de tous les
116
ns, réfugiés là-bas, avec qui nous nous disions :
si
nous pouvons rentrer en Europe, il n’y aura qu’une chose à faire, c’e
117
l’amour considéré comme action. Et là je rejoins,
si
vous le voulez, les fondements mêmes du christianisme, puisque la seu
118
ît en Suisse, tendance qu’il nous faut combattre.
Si
les finalités sont liberté, responsabilité, amour actif du prochain,
119
ans le domaine de l’éducation, en nous disant que
si
on veut faire l’Europe il faut d’abord faire des Européens, et non pa
120
u leur champ de bataille. Ce ne serait pas le cas
si
l’Europe était unie, c’est-à-dire fédérée, car il n’y a pas d’autre m
121
car il n’y a pas d’autre moyen d’union véritable.
Si
on veut être mangé à la sauce des États-nations, on ne s’unira jamais
122
viétique. Là j’ai de l’espoir. Vous me demanderez
si
j’ai l’espoir que cette fédération européenne se réalisera. J’en ai à
123
les utopies vont se réaliser comme ça, sans nous.
Si
on veut que les choses avancent dans le sens de la paix, c’est sur no
124
sur notre action. Donc il faut être pessimiste :
si
on laisse les choses aller — et elles ne pourraient qu’aller plus mal
125
rophe totale — en revanche on doit être optimiste
si
on est actif et si on peut mesurer les progrès de cette action. Par e
126
evanche on doit être optimiste si on est actif et
si
on peut mesurer les progrès de cette action. Par exemple, je suis fra
127
is elle a été souvent citée ces derniers mois : «
Si
c’était à recommencer, je commencerais par la culture. » Voilà qui me