1 ur le jour qui tient lieu de vertu politique à ce siècle débile et fiévreux ? On se demande alors de quoi je me mêle. Je répon

2 us ces groupes un acte de présence à la misère du siècle , assez nouveau parmi les intellectuels, et si violemment accentué qu’

3 , sur quelques-uns des problèmes importants de ce siècle , ayant écrit p. 277 de Situations II que le sort de la littérature ét

4 ement qui fut commune, dans les années 1930 de ce siècle , à ceux qui allaient devenir dès 1940 non seulement les premiers rési

5 fficile à rejeter qu’une culture faite depuis des siècles de rejets et d’innovation. Peut-être le seul vrai anti-Européen en ar

6 urs souvenirs et de leurs espoirs, tels que douze siècles d’histoire commune et trois millénaires de cultures mêlées les ont fo

7 préter certains conflits qui sévissent dans notre siècle entre le monde mécanique et le monde organique, entre la machine et l

8 ique classique adressée dès les années 1930 de ce siècle par les personnalistes à l’État-nation : il est à la fois trop petit

9 totalitaire. La Suisse figure depuis près de sept siècles l’image exemplaire d’une fédération de régions historiques, qui trouv

10 e avec des frères et d’être fondu en un. » Deux siècles et demi plus tard, le grand humaniste Æneas Sylvius Piccolomini, deve

11 Cortès, jusqu’aux « pères de l’Europe » de notre siècle , les Briand, Schuman, de Gasperi, Jean Monnet et Paul-Henri Spaak. Ma

12 la civilisation prépondérante ». Pour le reste du siècle , les noms de Nietzsche, de Proudhon, de Jacob Burckhardt, d’Ernest Re

13 u’une Terre ». Et que le seul problème sérieux du siècle est celui de son aménagement. Et que l’Europe seule peut en offrir le

14 mes un peu profonds et d’esprit large qu’a vus ce siècle ont tendu vers ce but unique le travail secret de leur âme… Ils ont e

15 t doit l’être. Elle s’est constituée au cours des siècles par la composition sans préméditation de valeurs religieuses — grecqu

16 e dans les cités commerçantes des xiie et xiiie siècles , quand les collèges de guildes et les écoles d’évêchés s’organiseront

17 us animal ou attaché. 3. De fait, près de quatre siècles avant l’invention du mot utopie par Thomas More, on en trouve l’exact

18 la Révolution ? Après Thomas More va s’élargir de siècle en siècle la sécularisation, la profanisation du non-lieu transcendan

19 ion ? Après Thomas More va s’élargir de siècle en siècle la sécularisation, la profanisation du non-lieu transcendant et de la

20 e pas, elle se reconnaît », disait vers la fin du siècle passé le grand géographe français Vidal de la Blache. Il définissait

21 sans doute. La providence éternelle prodigue les siècles à l’accomplissement de ses desseins, et notre existence passagère s’e

22 L’homme européen, tel que l’ont fait au cours des siècles ses religions, ses lois et sa culture, le sens grec de la mesure, mai

23 pe, une culture commune se constitue au cours des siècles , à partir de sources au moins diverses : Athènes, Rome et Jérusalem,

24 a d’Hésiode à nos jours, au cours des 28 derniers siècles . Demandons-nous d’abord quel est le plus grand commun dénominateur en

25 e de Pie II et l’échec du Plan de Podiebrad. Deux siècles plus tard, exactement, l’idée sera reprise, élargie aux dimensions d’

26 e par l’auteur en latin, a été traduite depuis un siècle en français, en anglais, en espagnol, en italien deux fois et en alle

27 envoie à un article de moi publié par la Revue du Siècle , n° 2, mai 1933. Suivent douze pages où l’on cite les déclarations no

28 suivie d’un renvoi de note41) à la même Revue du Siècle , n° 2, mai 1933 : Souvenez-vous, écrit Lévy, du « sombre émerveillem

29 chacune dirigée par un recteur. À la Sorbonne, un siècle plus tard, on trouve également quatre nationes, dotées chacune d’un t

30 Un autre Germain, Otton Ier le Grand, réussira un siècle et demi plus tard (962) à restaurer la dignité impériale : il fonde,

31 (les guelfes et les gibelins) remplira les trois siècles suivants et ne sera tranchée, en faveur du temporel, mais non de l’em

32 ui apparaît rarement dans les textes du temps. Le siècle de Louis le Grand, s’il fait peu de cas du peuple n’en célèbre que mi

33 l de la Nation. Voici leur enchaînement depuis un siècle et demi : a) L’État-nation est lié à la guerre dans sa genèse et en c

34 le plus grand philosophe de l’Histoire, en notre siècle , Arnold Toynbee, fait sienne la thèse solidement établie qui veut que

35 affaire , 1977, et plus anciennement Vingt-huit siècles d’Europe , 1961, et Lettre ouverte aux Européens , 1970. 72. Cf. n

36 eorges Nivat aux littératures de l’Ouest, dans ce siècle , dans leurs rapports avec le pouvoir et avec les oppositions ? On ver

37 nne, a été de glorifier la culture européenne des siècles passés, tout en laissant entendre : attendez, vous allez voir ce que

38 toire de l’Europe » et « d’aberration maximale du siècle  », le professeur Vedovato a donné à ce texte la valeur d’une conclusi

39 ération qui existait bel et bien depuis plus d’un siècle , à la satisfaction générale, et dont la recette n’était pas trop comp

40 ils ont pris leur parti d’avoir passé un tiers de siècle à ne plus avancer, à parler de l’union sans la faire et à dire son ur

41 part je ne vois dénoncer l’aberration maximale du siècle , je veux parler de l’existence simultanée de deux grandes organisatio

42 roblèmes que ces régions ont en commun depuis des siècles ), il faudrait arriver à faire une sorte d’unité nouvelle, définie par

43 . Ils ont beaucoup de choses en commun depuis des siècles , depuis des millénaires, et c’est de cela qu’il faut partir, c’est là