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que, laïque, progressiste, etc. », ni l’effort de
signer
quelques appels à l’Opinion publique, n’engagent à rien, personnellem
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ut en signant une quantité de manifestes. Ils ont
signé
pour le négus et contre lui ; pour le chef bien-aimé, Père des peuple
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« prêter » son nom ou son autorité. Ce n’est pas
signer
ici plutôt que là. Ce n’est pas passer de l’esclavage d’une mode à ce
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’Europe. Sa conception de l’engagement l’amène à
signer
, en 1977, des manifestes contre l’union de l’Europe, dénoncée en tant
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onales On lit dans Le Monde du 6 février 1979,
signées
par le « président de l’association de fidélité à l’action du général
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lume intitulé Demain la paix 27 par un auteur qui
signait
Bruère : La souveraineté nationale, assurait-il, est « un dogme périm
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ets p. 19. Au surplus, il n’est pas de moi, étant
signé
E. M. et non D. R. (Je n’avais guère de raisons de m’intéresser aux d
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t dans une fraternité joyeuse. » Ces phrases sont
signées
Raymond Aron. Elles vont plus loin dans la volonté de dialogue, — on
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verte d’un jeune Allemand à la France ». Elle est
signée
Harro Schulze-Boysen, qui était alors l’animateur du Groupe Gegner (L
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volume intitulé Demain la paix, paru en 1945, et
signé
Jacquier, on pouvait lire : « [La souveraineté nationale est] un dogm
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et, suivie le 5 mai de l’Acte de naissance du CE,
signé
à Saint James’s Palace, à Londres. La première session de l’Assemblé