1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). Contribution à une recherche éventuelle sur les sources de la notion d’engagement de l’écrivain (printemps 1978)
1 que, laïque, progressiste, etc. », ni l’effort de signer quelques appels à l’Opinion publique, n’engagent à rien, personnellem
2 ut en signant une quantité de manifestes. Ils ont signé pour le négus et contre lui ; pour le chef bien-aimé, Père des peuple
3 « prêter » son nom ou son autorité. Ce n’est pas signer ici plutôt que là. Ce n’est pas passer de l’esclavage d’une mode à ce
4 ’Europe. Sa conception de l’engagement l’amène à signer , en 1977, des manifestes contre l’union de l’Europe, dénoncée en tant
2 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
5 onales On lit dans Le Monde du 6 février 1979, signées par le « président de l’association de fidélité à l’action du général
6 lume intitulé Demain la paix 27 par un auteur qui signait Bruère : La souveraineté nationale, assurait-il, est « un dogme périm
3 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
7 ets p. 19. Au surplus, il n’est pas de moi, étant signé E. M. et non D. R. (Je n’avais guère de raisons de m’intéresser aux d
8 t dans une fraternité joyeuse. » Ces phrases sont signées Raymond Aron. Elles vont plus loin dans la volonté de dialogue, — on
9 verte d’un jeune Allemand à la France ». Elle est signée Harro Schulze-Boysen, qui était alors l’animateur du Groupe Gegner (L
4 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
10 volume intitulé Demain la paix, paru en 1945, et signé Jacquier, on pouvait lire : « [La souveraineté nationale est] un dogm
5 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
11 et, suivie le 5 mai de l’Acte de naissance du CE, signé à Saint James’s Palace, à Londres. La première session de l’Assemblé