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on, dans notre siège, que nous sommes attaqués et
tués
. La tradition des poètes chantant l’Europe, ses merveilleuses divers
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rétexte qu’elles s’appelaient « privilèges » ; de
tuer
tout civisme qui puisse s’opposer aux décrets de la capitale. Dans le
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tre l’invasion russe, mais en vain, et Petőfi fut
tué
en combattant. Voici le début de son poème de 1848, intitulé Silence
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nt. Il semblait, vers 1977, que les USA pouvaient
tuer
tous les hommes existants environ 32 000 fois, l’URSS seulement 29 00
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notre vie. Nous ne sommes pas prêts à nous faire
tuer
pour les souverainetés nationales. Nous n’accepterons de mourir que p
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onduite par les membres des assemblées et si bien
tuée
par les représentants des souverainetés nationales — qui avaient pris
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lité, sans aucune règle sauf celle de vaincre, de
tuer
le plus possible d’hommes ou de gagner le plus possible de milliards,