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spèce d’adresse au jour le jour qui tient lieu de
vertu
politique à ce siècle débile et fiévreux ? On se demande alors de quo
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riles de la civilisation par son innocence et ses
vertus
simples ». Nous tenons enfin le Suisse au-dessus de tout soupçon ! L’
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e titre était celui d’un livre « infâme ». IV.
Vertus
et vices selon la religion nationaliste L’adjectif m’a d’abord fa
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Monde en dépend18. De cette religion simple, les
vertus
sont naïves : elles se réduisent en somme à l’unité et à l’indivisibi
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ble », dit la Logique de Vienne… Ces vices et ces
vertus
, à l’échelle de l’Europe, ne permettent plus, pour l’honnête homme, q
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a donc été reporté du tout sur les parties, et la
vertu
totalisante qui est celle qu’on doit atteindre d’une universitas stud
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et elle l’illustre comme ce qui a tout d’abord la
vertu
d’associer les esprits les plus divers « d’un bout de l’Europe à l’au
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t être subordonné aux pensées plus hautes dont la
vertu
se compose. Et elle a des mots très durs contre le phénomène de la n
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la Souveraineté a perdu toute substance et toute
vertu
novatrice ou positivement impérative. Elle n’est plus qu’une prétenti
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emière approximation, deux séries de valeurs ou «
vertus
», caractéristiques des comportements stato-nationaux d’une part, féd
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nger ici, schématiquement, sur deux colonnes de «
vertus
prônées » (sinon toujours pratiquées). État-nation Fédération
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ne. 1. Dans les deux colonnes, il n’y a que des «
vertus
», en ce sens qu’on n’y mentionne que les comportements requis pour q
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ts des pays considérés. 2. Il se trouve que les «
vertus
» de la colonne II sont chrétiennes, celles de la colonne I idolâtres
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s sacrés, l’absolu de sa primauté sur toute autre
vertu
cardinale. Raymond Barre traduisait fidèlement, à sa coutume, le sent
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orée. — La prudence est le vice des timides et la
vertu
des audacieux […]. Messieurs les députés, ce serait pure folie que d’