1 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
1 celle-ci dépend de deux peuples — l’autre est le russe — dont toutes les réactions intimes et sautes d’humeur vont affecter
2 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
2 vres. Un peu plus tard, c’est une party de Pâques russe chez une amie. « Venez très tôt, vous aurez une surprise. » J’arrive
3 commerciales qui s’opposent à l’entrée des films russes , anglais et français, cèderont au jour… Et j’imagine alors Hollywood
3 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
4 larer la guerre aux États-Unis, puis que le monde russe , provisoirement allié, entre en concurrence déclarée avec la producti
5 a plus en sécurité et plus à l’aise. Je pense aux Russes . Je vous laisse comparer. Chacun ses goûts. Je me borne à marquer une
6 l’occupation sur les bras ! » Remarquons que les Russes ne prêtent pas le flanc à des critiques de ce genre parce qu’ils ne p
4 1947, Carrefour, articles (1945–1947). « Jean-Paul Sartre vous parle… et ce qu’en pensent… » (29 octobre 1947)
7 ire prudemment sur tout appel à la « démocratie » russe . S. de Beauvoir a raison de défendre la liberté de penser, mais quand
5 1947, Carrefour, articles (1945–1947). La France est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)
8 t que l’Europe vive et ne tombe pas aux mains des Russes  ; c’est qu’elle soit forte et donc unique, puisque les autres compten
9 ridicule d’avoir réalisé sans phrases ce que les Russes promettent aux masses et ne leur donnent pas. On va plus loin encore,
10 reviennent à l’Amérique latine, à l’Asie et à la Russie , on voit ce qui reste pour l’Europe — pour la solidité de l’argument