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ix. Déjà, le syndicat des ouvriers de l’industrie
automobile
offre à Ford un contrat collectif qui le protègera contre les grèves
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e par là que si un homme devient l’esclave de son
automobile
, le blâme en retombe sur l’homme et non sur la machine. Car primo, on
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l’a pas forcé à l’acheter, et secundo, une fois l’
automobile
achetée, il ne dépendait que de lui d’aller à pied quand cela lui cha