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gite la main, s’en va d’un pas étrangement souple
avec
un sourire parfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un sourire
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es ; un peu plus de sourires sans raison échangés
avec
les passants, les voisins d’autobus ou de train… Et je me sens moins
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boire, et, les pieds sur une chaise, me posaient
avec
naturel des questions follement indiscrètes, me racontaient leur vie
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bout de cinq minutes et sortaient tout d’un coup
avec
un signe de la main, so long ! un bye bye ! négligent… Je m’étais à p
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tion des jours fériés ; les cortèges de carnaval,
avec
fanfares, avant les grands matchs de football ; les cérémonies d’ouve
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le. Suit un tango où ils se glissent joue à joue,
avec
n’importe qui, comme sans se voir, dans une demi-obscurité rougeâtre.
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ntonnant leurs mélodies toujours si tristes, mais
avec
un sourire de rêve heureux. Je crois qu’ils sont bien moins conscient
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en particulier par sa politique de bon voisinage
avec
l’Amérique latine. Cette politique comportait deux branches, curieuse
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pour survivre à pareille torture au ralenti, même
avec
une prime d’un million, resplendissant au terme de l’épreuve. Le moin
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. Je me déplace. Elle entre sur ses talons plats,
avec
son chapeau de feutre gris souris relevé de côté, et le profil du rêv
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lle est gaie ! J’ai passé une demi-heure à causer
avec
elle, sur un sofa, et plus tard nous avons soupé, assis par terre, da
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monstres sadiques, souvent sadiques eux-mêmes et
avec
quelle joie entièrement partagée par les publics d’enfants, ils évolu
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imés par la représentation de la veille. Il entre
avec
sa femme. Il a l’air d’un bon garçon bien correct et bien banal. On e
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lui, bien visible, pendant un bon quart d’heure,
avec
l’assentiment du rire de la foule. ⁂ Les créations géniales de Disney
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la période où il travaillait seul, à l’aventure,
avec
des moyens peu coûteux. Les producers de Hollywood travaillent aujour
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es producers de Hollywood travaillent aujourd’hui
avec
des milliers d’employés, dans le cadre d’une routine technique stupid
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l’arbre immense du Rockefeller Plaza, transporté
avec
toutes ses racines d’un parc où il sera replanté dès janvier, n’ayant
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ommes de bonne volonté », répétant sans scrupules
avec
M. Romains une grave erreur de traduction car l’Évangile, dans le tex
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bureaux, et nomme un tsar qui supervise le tout,
avec
pouvoirs dictatoriaux. Le « tsar » est un « businessman » Ce tsa
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échec, ce tsar reprendra son ancienne profession,
avec
ou sans augmentation de salaire et de rang. Et c’est ainsi que dans l
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ovisoirement allié, entre en concurrence déclarée
avec
la production américaine et l’idéal démocratique d’un Roosevelt. L’Am
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mites se voit donc subitement confrontée non plus
avec
sa nature, ses déserts, ses émigrés et ses Indiens, mais avec le mond
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re, ses déserts, ses émigrés et ses Indiens, mais
avec
le monde entier organisé en groupes solides ; de plus, on lui a décla
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ux marquer le coup ; et, de plus, elle l’a gagnée
avec
une arme qu’elle se trouve seule à posséder pour le moment. Voilà bie
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de prendre conscience de soi, en tant que nation,
avec
tout ce que cela comporte d’orgueil et de volonté de régenter le mond
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lisme américain vient se confondre, pratiquement,
avec
le rêve d’une communion planétaire dans la même liberté. Ils ont envi
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utumes d’économie paysanne ; on achètera nos âmes
avec
des frigidaires ; la sottise humanitaire enlisera nos élans spirituel
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ôt : « Ah ! bien sûr, ils vont nous laisser seuls
avec
toute la charge de l’occupation sur les bras ! » Remarquons que les R
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e à des tendances européennes qui n’ont de commun
avec
lui que le nom. h. Rougemont Denis de, « L’Amérique est-elle natio
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honté, la calomnie, la terreur, n’ont rien à voir
avec
l’esthétique, ont tout à voir avec le fascisme. Dans les limites du r
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nt rien à voir avec l’esthétique, ont tout à voir
avec
le fascisme. Dans les limites du réalisme préconisé par M. Aragon, Éd
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ise dans le statut de la SDN, lequel sauvegardait
avec
soin la souveraineté absolue des nations, source et condition même de
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leurs batteries. Ils remarquaient tout à l’heure
avec
raison qu’une ligue de gouvernants est par définition incapable d’emp