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e autre civilisation. L’Amérique est un continent
dont
je tiens pour possible et même facile de parler fort correctement san
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i dépend de deux peuples — l’autre est le russe —
dont
toutes les réactions intimes et sautes d’humeur vont affecter notre s
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ers son pays du fond du Pacifique ou de l’Europe,
dont
il n’a guère connu que les ruines et les amertumes, rêve simplement d
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ue affrontés du patronat et de l’union syndicale,
dont
les déclarations officielles seront citées in extenso. Pas de polé
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à peu près deux tiers de page à leurs éditoriaux,
dont
la moitié traite de ce qui se passe dans tel pays de l’Amérique du Su
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depuis la guerre, un ministère de l’Information,
dont
jusqu’à plus ample informé, je ne mettrai pas en doute l’utilité. Mai
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de McCormick, qui règnent sur le Middle West, et
dont
les tares les plus connues sont la brutalité de langage, la haine pos
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er dans l’ensemble, et obtient certains résultats
dont
la victoire sur les nazis et le Japon n’est que le premier exemple qu
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nom que l’on désigne ordinairement une situation
dont
notre esprit n’arrive pas à se former une image claire et cohérente.
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urs. D’où la gabegie littéralement indescriptible
dont
le Contrôleur général essaie de donner une idée dans le bref article
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s obliger à faire enfin de la politique étrangère
dont
nous n’avions naguère ni le goût ni le besoin… ⁂ Prise entre ces repr
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ut ce qui a compté, tout ce qui a marqué, tout ce
dont
nous vivons pratiquement aujourd’hui, tout fut d’abord une utopie : l
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Soviétie. Dans ce cas, nous aurons une dictature
dont
le Führer ne sera pas un homme mais une nation. Alors, mais dans les
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l’aide nécessaire de l’Amérique, mais la manière
dont
nous sollicitons cette aide et la vilipendons du même mouvement. « Pa