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n sentiment. J’avais, avant d’y venir, vu tant de
films
et lu tant de romans américains : ils donnaient, je le sais aujourd’h
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éciatif, bien au contraire, qu’on l’applique à un
film
, à un chapeau, ou même à un industriel entreprenant. Cette nuance me
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que dans leurs brutalités stéréotypées, voilà les
films
américains au lendemain de la guerre. Les critiques, les échos de pre
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resplendissant au terme de l’épreuve. Le moindre
film
européen d’avant la guerre, projeté dans une petite salle de rétrospe
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Stravinsky — deux des principales victimes de son
film
. Il coupe court d’un ton neutre : « Mrs Walt Disney n’aime pas la mus
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s budgets ! Essayez de faire pour une fois : « le
film
le meilleur marché du monde », au lieu de rivaliser dans la dépense.
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Disney. Et qui sait s’il ne va point préférer les
films
européens, dès qu’il pourra les voir ? Tous les signes sont là. Dépêc
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rières commerciales qui s’opposent à l’entrée des
films
russes, anglais et français, cèderont au jour… Et j’imagine alors Hol
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près sa mort, devienne une merveilleuse « idée de
film
», et renaisse à l’écran sous la forme du chef-d’œuvre que, vivante,