1 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
1 n sentiment. J’avais, avant d’y venir, vu tant de films et lu tant de romans américains : ils donnaient, je le sais aujourd’h
2 éciatif, bien au contraire, qu’on l’applique à un film , à un chapeau, ou même à un industriel entreprenant. Cette nuance me
2 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
3 que dans leurs brutalités stéréotypées, voilà les films américains au lendemain de la guerre. Les critiques, les échos de pre
4 resplendissant au terme de l’épreuve. Le moindre film européen d’avant la guerre, projeté dans une petite salle de rétrospe
5 Stravinsky — deux des principales victimes de son film . Il coupe court d’un ton neutre : « Mrs Walt Disney n’aime pas la mus
6 s budgets ! Essayez de faire pour une fois : « le film le meilleur marché du monde », au lieu de rivaliser dans la dépense.
7 Disney. Et qui sait s’il ne va point préférer les films européens, dès qu’il pourra les voir ? Tous les signes sont là. Dépêc
8 rières commerciales qui s’opposent à l’entrée des films russes, anglais et français, cèderont au jour… Et j’imagine alors Hol
9 près sa mort, devienne une merveilleuse « idée de film  », et renaisse à l’écran sous la forme du chef-d’œuvre que, vivante,