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tipliés dans la vie quotidienne, naît une aisance
générale
. L’Américain ne supporte pas d’être gêné aux entournures, matériellem
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ne habitué, non sans plaisir, à cette suppression
générale
de nos cérémonies, précautions oratoires, méfiances paysannes ou rése
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agne ; les garçons d’ascenseur galonnés comme des
généraux
d’opérette ; le culte méticuleux de la bannière étoilée inculqué chaq
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même sens, illustre un même mouvement profond et
général
vers la vie libre, vers l’avenir. On pourrait définir l’Amérique comm
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un gouvernement pratiquement idéal, le Contrôleur
général
des États-Unis écrit de son côté : « Notre gouvernement est une vaste
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e littéralement indescriptible dont le Contrôleur
général
essaie de donner une idée dans le bref article que je citais : Prene
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nctionnaires de métier. Le chef en fut d’abord un
général
, puis un commentateur de la radio. Il avait sous ses ordres des écriv
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’un gouvernement mondial se heurte au scepticisme
général
, et même, pour peu que l’on insiste, provoque une curieuse impatience