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enace de toute l’Histoire. Les enfants, comme les
gouvernements
, demandent pour leur Noël des petites bombes atomiques. Trois d’entre
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urances du Connecticut affirme qu’elle jouit d’un
gouvernement
pratiquement idéal, le Contrôleur général des États-Unis écrit de son
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énéral des États-Unis écrit de son côté : « Notre
gouvernement
est une vaste pétaudière. » Ce fonctionnaire sait à peu près de quoi
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ble d’embrasser dans une seule vue les rouages du
gouvernement
des États-Unis d’Amérique. Dans la jungle administrative… Le pr
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are aujourd’hui que « des projets financés par le
gouvernement
fédéral ont été néanmoins mis en œuvre par au moins quinze agences di
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nd qu’un cinquième du territoire est propriété du
gouvernement
, c’est-à-dire de trente-quatre agences et d’une douzaine de départeme
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ssociations d’étudiants américains préconisant un
gouvernement
mondial viennent de fusionner pour constituer le « World Federalist M
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rope, au contraire, il m’apparaît que l’idée d’un
gouvernement
mondial se heurte au scepticisme général, et même, pour peu que l’on
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e on dit que « l’humanité n’est pas prête pour un
gouvernement
mondial ». La timidité d’esprit que cet argument trahit touche à la m
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peuples ne sont pas prêts à accepter l’idée d’un
gouvernement
mondial, mais qu’en savez-vous ? Le seul peuple « sondé » à ce sujet,
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e. Elles se ramènent à deux types d’argument : le
gouvernement
mondial serait impuissant, ou bien il serait trop puissant. À l’appui
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porte à coup sûr contre l’ONU, mais non contre le
gouvernement
mondial. La faiblesse qu’on signale avait une cause précise dans le s
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ette raison que beaucoup éprouvent l’urgence d’un
gouvernement
mondial. Ce dernier, pour être effectif, capable de prévenir ou de t
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l’esprit totalitaire. Sur quoi les adversaires du
gouvernement
mondial renversent leurs batteries. Ils remarquaient tout à l’heure a
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e considérer de plus près les modes d’élection du
gouvernement
mondial et les limites de son pouvoir. En effet, si les membres de l’
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es de l’exécutif mondial étaient désignés par les
gouvernements
nationaux, on retomberait soit dans l’impuissance d’une ligue des nat
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t respectée mais organique serait sauvegardée. Le
gouvernement
mondial serait alors de type démocratique. (Car il apparaît de plus e