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e. C’était cela, les gratte-ciel et Broadway, les
grandes
plaines couvertes d’usines, les villages aux maisons de bois blanc su
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es cortèges de carnaval, avec fanfares, avant les
grands
matchs de football ; les cérémonies d’ouverture et de clôture des uni
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de rêveurs. Je vais parfois les regarder dans les
grandes
salles populaires de Broadway, où des centaines de jeunes filles en j
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t collectif des Américains d’aujourd’hui. Et leur
grand
rêve, leur american dream, prolonge vers l’avenir cette tradition. Le
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in à ceux des côtés de la Californie. C’était une
grande
victoire sur la géographie démesurée du continent. Mais c’était une l
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s. Les jeunes Américains se sont trouvés mêlés au
grand
malheur des peuples qu’ils aimaient de loin. Ils ont été courageux de
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nir, direz-vous, n’est-ce pas tout simplement une
grande
poussée d’impérialisme américain ? Vos rêveurs nous paraissent terrib
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. Pour que ces sommes rapportent, il faut le plus
grand
public possible. Pour satisfaire ce plus grand public, il faut se gar
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us grand public possible. Pour satisfaire ce plus
grand
public, il faut se garder d’innover ou de faire plus vrai que la conv
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e j’y suis, un bon conseil : ne croyez pas que le
grand
public déteste autant que vous la nouveauté. Il a aimé Disney. Et qui
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eu de l’an I d’une ère de paix fondée sur la plus
grande
menace de toute l’Histoire. Les enfants, comme les gouvernements, dem
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ment en jouant à faire sauter le monde. Les trois
Grands
, à Moscou, seront-ils plus adroits dans ce même jeu ? On ne le croira
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que sa nuit de Nouvel An « promet d’être la plus
grande
nuit de l’histoire de l’hôtel — à partir de vingt dollars ». Hier che
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partir de vingt dollars ». Hier chez Schwartz, le
grand
magasin de jouets de la Cinquième Avenue : « Auriez-vous, dis-je d’un
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la messe de minuit des protestants, dans la plus
grande
église gothique du monde, la cathédrale de Saint-Jean-de-Dieu, siège
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r la dernière fois l’orchestre ou la fanfare d’un
grand
meeting. Sur le coup de minuit, le 31 décembre, nous perdrons le meil
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vril 1946)e f Peu de temps avant la guerre, un
grand
journal du soir, qui disposait d’un poste de radio, m’interviewa au s
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Exposé de points de vue contradictoires Les
grands
journaux américains admettent dans leurs colonnes l’exposé de points
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’étranger est une espèce humaine bien définie. Le
grand
reporter français cherche à expliquer, il tend à l’essai. Le correspo
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son statut social éclipsent bien souvent ceux des
grands
romanciers. Ce qui pose chaque jour aux rédacteurs d’un journal améri
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’un journal américain, en plus des problèmes d’un
grand
quotidien, le problème d’une volumineuse revue de vulgarisation. Ce q
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ur sept millions d’habitants, ne possède que neuf
grands
journaux ; Paris en publie sept fois plus, qui, d’ailleurs, tirés sur
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New York Times ou du Herald Tribune. Ce sont ces
grands
journaux que j’avais dans l’esprit en écrivant ce qui précède. J’ai p
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que d’un trust industriel, le secrétaire d’un des
grands
syndicats, ou bien un professeur d’économie. On lui fera beaucoup de
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man va nous sortir. S’il réussit, sa gloire sera
grande
pendant plusieurs semaines au moins, à condition que la presse l’ait
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ence lui répondra non. Car s’il n’y avait plus de
grands
bureaux dans une démocratie, quelques hommes deviendraient responsabl
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et tout-puissants du premier coup. Imaginez qu’un
grand
pays européen ait remporté des triomphes de cet ordre. La terre entiè
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st plus très saine, qu’elle « sent » déjà. Il est
grand
temps qu’on la mette dans la glace. De même, le commerce américain ne
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réoccuper d’être immédiatement accessible au plus
grand
nombre ? 3. L’art peut-il être au service d’une idéologie ? »
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s pour la guerre, par exemple, et pour la mort en
grande
série ? Ce qui est vrai, c’est qu’on les y prépare de force, quand on
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on a décidé de faire la guerre. Mais pour quelle
grande
entreprise de l’histoire a-t-on jamais demandé l’avis des peuples, et
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mique ? S’ils avaient été prêts pour l’une de ces
grandes
causes ou grandes actions, il n’y aurait pas eu de martyrs, ni de tyr
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ent été prêts pour l’une de ces grandes causes ou
grandes
actions, il n’y aurait pas eu de martyrs, ni de tyrans, ni d’adversai
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La France est assez
grande
pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)n La honte de l’Europe,
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. n. Rougemont Denis de, « La France est assez
grande
pour n’être pas ingrate », Carrefour, Paris, 26 novembre 1947, p. 1 e