1
rques ironiques pour m’accorder à leurs manières.
Il y a
tant de bizarreries dans le monde, et dans ce continent américain on
2
rsités ; et « l’Inauguration » des présidents… Qu’
il y ait
là quelque chose de typiquement américain, j’en vois la preuve dans l
3
cette guerre dominaient les prochaines élections,
il y aurait
huit à neuf chances sur dix que l’Amérique retourne à l’isolationnism
4
’une guerre moderne, à l’échelle planétaire. Mais
il y a
le rêve des civils. Et c’est lui qui va dominer, nécessairement. Les
5
que je citais : Prenez le problème du logement.
Il y a
quelques années, devant un comité du Sénat, la question fut posée de
6
omme chez Rosenberg dans le sang et le sol. Ce qu’
il y a
de répugnant dans le nationalisme européen, c’est que l’on y sent une
7
illage qui n’est pas le sien. Au contraire, ce qu’
il y a
de rassurant dans le nationalisme américain, c’est qu’on y sent une v
8
es menaces de guerre : et réciproquement, tant qu’
il y aura
des menaces de guerre, les États tendront à l’autarcie, les frontière
9
lle, ou qui serait le seul fait des communistes :
il y a
trente ans que l’Europe, la bourgeoisie d’Europe, se conduit mal à l’
10
ns chaque jour sur les Américains et leur action.
Il y a
trente ans que nous les abreuvons de récriminations et de dédains, de
11
capitaux et de dénonciations de leur capitalisme.
Il y a
trente ans que nous les appelons au secours quand l’Europe est à feu
12
et à sang (par notre faute, si je ne me trompe) :
il y a
trente ans que nous nous plaignons de leur lenteur à répondre à nos S
13
e libération et pour la débarquer en Algérie !) ;
il y a
trente ans que, lorsqu’ils arrivent enfin, lorsqu’ils nous sauvent, n