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le : It’s unamerican, « ce n’est pas américain. »
Nationalisme
, direz-vous. Oui, mais pas à la manière européenne. La phrase veut di
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digne du mythe, du rêve américain. Voilà donc un
nationalisme
« ouvert » et pour qui la nation est en avant dans un élan, un rêve,
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sang et le sol. Ce qu’il y a de répugnant dans le
nationalisme
européen, c’est que l’on y sent une volonté de resserrement, une soif
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. Au contraire, ce qu’il y a de rassurant dans le
nationalisme
américain, c’est qu’on y sent une volonté d’élargissement, une soif d