1 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
1 ême à un industriel entreprenant. Cette nuance me paraît capitale : elle suffit à changer l’atmosphère. L’avouerai-je ? Aux pr
2 Autrement, elle ne sert à rien. Mais personne ne paraît s’en étonner, tant est puissant le sens des conventions publiques dan
2 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
3 s au libre-échange, et en retour ce libre-échange paraît propre à favoriser l’établissement de la démocratie dans les pays où
4 ussée d’impérialisme américain ? Vos rêveurs nous paraissent terriblement pratiques et parfaitement conscients de leurs intérêts…
3 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
5 lle empêché de s’en occuper ! Son mauvais goût me paraît irrémédiable, étant celui de l’Américain moyen en matière d’art et su
4 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
6 lemagne. J’expliquai que la presse hitlérienne me paraissait meilleure que celle de France, parce qu’elle donnait plus de nouvelle
7 st une polémique contre un autre journal. Ceci me paraît très important. En France, il arrive trop souvent que le débat réel r
8 ; de commentaires ou « colonnes syndiquées » (qui paraissent le même jour dans vingt autres journaux) ; et des rubriques régulière
5 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
9 ure. Cette timidité de la politique américaine me paraît beaucoup plus dangereuse pour l’Europe que cet impérialisme qu’on red
6 1947, Carrefour, articles (1945–1947). Fédération ou dictature mondiale ? (9 avril 1947)
10 c le projet ne vaut rien, vous diriez : le projet paraît juste et nécessaire, donc il faut que les peuples se préparent à le r
11 e l’aventure humaine. Cette dernière objection me paraît seule sérieuse, voire inquiétante, car tandis que les précédentes se
12 tution humaine), le fait est que cette fédération paraît aujourd’hui le seul remède contre la guerre. Dans un monde où, grâce