1 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
1 t : il lui faut tout d’abord quitter le pays — un petit voyage au Canada ou au Mexique — pour rentrer deux ou trois jours plu
2 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
2 e livrent à la danse appelée jitterbugs autour de petits marins, de soldats presque imberbes, de garçons qui n’ont pas encore
3 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
3 film européen d’avant la guerre, projeté dans une petite salle de rétrospective, à New York, me semble en comparaison fait de
4 s-vous disparue comme un songe au matin ? Dans ce petit restaurant français de la 56e rue, à l’ouest, un jour de l’autre hive
5 e courte de soie grise, et déjà nous choquons nos petits verres de vodka. On l’a présentée comme « Miss G… » (prononcez Djie),
4 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
6 e les gouvernements, demandent pour leur Noël des petites bombes atomiques. Trois d’entre eux, à Brooklyn, viennent d’être bles
7 un foulard de soie rose feu. — « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’est moi ! », dit-elle en lui pin
8 e ; le politicien rusé autant qu’honnête, le gros petit homme à la face de clown, Fiorello, la Fleurette, comme le peuple l’a
9 à l’on met en vente la « bicyclette du ciel », un petit avion de mille dollars. Déjà les banques de Buffalo ouvrent des guich
10 pacte et lente, dans la rumeur assourdissante des petites trompettes de foire et des crécelles, GI Joe, le combattant moyen, se
5 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
11 ait d’un poste de radio, m’interviewa au sujet du petit livre que je venais de publier sur l’Allemagne. J’expliquai que la pr