1 insi du reste : ce pays si religieux n’a guère le sens du spirituel ; on y est tour à tour plus formaliste et plus sans faço

2 ulent à son sujet sont justifiés, de même que les critiques à la Duhamel et les enthousiasmes à la Jules Romains ; mais rien de t

3 ants, les voisins d’autobus ou de train… Et je me sens moins jugé, moins jaugé, pour tout dire, moins vu qu’en Europe. Parce

4 onne ne paraît s’en étonner, tant est puissant le sens des conventions publiques dans ce peuple qui, par ailleurs, a poussé

5 adway ! Peut-être, mais tout cela va dans le même sens , illustre un même mouvement profond et général vers la vie libre, ver

6 icaine n’est pas du tout à base d’impérialisme au sens européen du mot. Je pense que nous avons un peu plus de raisons de no

7 s films américains au lendemain de la guerre. Les critiques , les échos de presse, et même les spectateurs, sont unanimes : Hollyw

8 ris à tâche de créer un nouvel esprit, un nouveau sens des devoirs civiques de la presse, une école de reportage, un journal

9 alistes à la manière des Européens ? C’est, à mon sens , toute la question. Lorsque nous parlons d’impérialisme, en Europe, n

10 : cette opinion ou cette action ne va pas dans le sens de l’idéal commun vers quoi tendent les Américains, et qui les fait d

11 européens sur l’Amérique. On n’a pas épargné les critiques à la politique d’occupation américaine en Allemagne : « Ils sont trop

12 uons que les Russes ne prêtent pas le flanc à des critiques de ce genre parce qu’ils ne publient rien, interdisent les reportages

13 tables, au sein desquelles le langage retrouve un sens , les signes un pouvoir, l’opposition des repères, le progrès un but.

14 nregistré la première impulsion organique dans ce sens . Le plan américain pour prendre le contrôle de la bombe atomique prév