1 1946, Combat, articles (1946–1950). Ni secret ni défense (19-20 mai 1946)
1 echnique de la détonation, dans quelques mois les Russes l’auront, ou les Anglais, ou les Danois peut-être. Et je ne connais p
2 pas un instant que les projectiles ne viennent de Russie . Il est trop tard pour échanger des notes et des coups de chapeau hau
3 scou et Kiev en ruines dans les trois heures. Les Russes ripostent sur Détroit et Saint-Louis, et détruisent Londres par simpl
2 1946, Combat, articles (1946–1950). Paralysie des hommes d’État (21 mai 1946)
4 re à leur place. Staline voudrait la paix, car sa Russie blessée doit d’abord être reconstruite, mais il ne renonce pas aux pl
5 -même créatrice de conflits) d’un conflit avec la Russie . Sans doute sont-ils tous les trois convaincus qu’ils aiment la paix
3 1947, Combat, articles (1946–1950). « La tâche française c’est d’inventer la paix » (26 décembre 1947)
6 ce et elle est entravée dans ses démarches par la Russie , c’est-à-dire par son parti communiste. Elle donne ainsi l’impression
7 doute, mais dont nous devons profiter. Quant aux Russes , je suis convaincu qu’ils n’ont qu’à y gagner. Mais s’ils persistent
4 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
8 que qui les professe, et ne vaut rien en face des Russes qui les assènent. Il faut des actes, dit-on. La phrase est vague. Les