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s l’exemple le plus invraisemblable, pour qu’on n’
aille
pas y voir je ne sais quelle allusion à des circonstances trop réelle
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strée. Notez que, si elle ne l’est pas, quelqu’un
va
nous l’administrer. L’alternative est entre ces deux sens du verbe. E
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qu’ils ont l’air d’être, quand on voit ce qu’ils
vont
faire ou laisser faire de nos vies. Irresponsables moins par incapaci
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les esprits en état de siège. Sommes-nous fous ?
Allons
-nous continuer ce jeu jusqu’à l’explosion de la Terre ? Allons-nous c
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ontinuer ce jeu jusqu’à l’explosion de la Terre ?
Allons
-nous confier le destin de la planète à trois hommes surchargés, débor
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es chefs d’État… Peut-être l’expérience de Bikini
va-t
-elle donner le choc nécessaire pour alerter enfin une opinion mondial
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trois grands régimes politiques de ce siècle. Je
vais
les caractériser par leurs armes ou leurs méthodes favorites. Le livr
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étiquette, contre ses adversaires déclarés, nous
allions
enfin pouvoir, entre nous, discuter le contenu véritable de la démocr
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. Ou bien c’est un mensonge et une hypocrisie. Je
vais
vous en donner un exemple. Les Soviets, qui se disent démocrates, dén
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car les problèmes se posent quand les choses s’en
vont
… c. Rougemont Denis de, « Tous démocrates », Combat, Paris, 22 mai
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st le prestige de l’uniforme, symboliquement, qui
va
sombrer. Il vaut la peine de remarquer, enfin, que pas une voix ne s’
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(24 mai 1946)e Un dernier mot. (Et dire que j’
allais
l’oublier !) La Bombe n’est pas dangereuse du tout. — Êtes-vous fou
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p l’on se jetait sur une chaise pour l’empêcher d’
aller
casser les vases de Chine. Si on laisse la Bombe tranquille, elle ne
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sme, mais de s’attaquer à la forme de pensée d’où
vont
nécessairement sortir le fascisme et le stalinisme. Et c’est la pensé
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sombrer avec vous dans le désespoir. Comment ? Je
vais
d’abord vous confier une chose : je ne crois pas aux « blocs ». C’est
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eur consentement. C’est bien dommage, mais nous n’
allons
quand même pas attendre le visa de qui que ce soit pour nous décider
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a Suisse. Tout le monde croit l’avoir vue et s’en
va
répétant qu’il a fallu plus de cinq-cents ans pour sceller son union
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e temps qu’il n’en fallait, il y a cent ans, pour
aller
de Genève ou des Grisons à Berne. Pour la guerre entre vos pays, les
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evant ce fait, pour mieux se persuader qu’on peut
aller
très vite. Car le temps fait beaucoup à l’affaire. Celui que vous n’a